L'investissement désigne le plus souvent le capital fixe : il s'agit de créer ou d'acquérir des biens de production ou d'équipement. L'épargne est la fraction du revenu d'un agent économique qui n'est pas consommée immédiatement. Les marchés financiers sont les marchés de capitaux à long terme (généralement au-delà de 7 ans).
[...] Ainsi, elle met des coffres à disposition de ses clients (protection de l'épargne) ; elle fournit également des informations ; elle peut réaliser des opérations de gestion et de courtage des devises et des titres. La banque offre en définitive un cadre sécurisant aux agents économiques qui la sollicitent. D'autre part, la banque résout un problème particulier : celui de la différence de vision entre investisseurs et épargnants. De quoi s'agit-il exactement? En fait, les investisseurs préfèrent en règle générale emprunter sur le long terme (au moins cinq à dix ans) tandis que les épargnants souhaitent eux généralement prêter à plus court terme. [...]
[...] Il détermine l'investissement selon les coûts relatifs des facteurs, par exemple s'il achète une machine il calcule sa productivité marginale (contribution au produit de l'entreprise) relativement à son coût. Selon le modèle de la concurrence imparfaite la fonction de l'investissement est plus complexe puisqu'elle tient compte de sa capacité à améliorer la compétitivité de l'entreprise : rajeunissement des équipements, investissement en capital humain (recrutement, formation, motivation des travailleurs, prospection commerciale mise en œuvre d'innovations (recherche, nouveaux procédés de fabrication, nouveaux produits diversification des activités Il prend aussi en compte le degré d'aversion pour le risque d'un entrepreneur. [...]
[...] Créés pour répondre à trois stratégies : couverture de risque, spéculation et arbitrage. Les actifs ne sont ici que des supports qu'on ne cherche ni à acheter ni à vendre mais on s'intéresse aux marges entre prix d'achat et prix de revente. Ils constituent la partie la plus dynamique des marchés financiers mondialisés. Nous allons nous intéresser au fonctionnement de ces marchés financiers. I. Les modes traditionnels de financement de l'investissement L'autofinancement Une entreprise peut en effet se financer au moyen de ses fonds propres. [...]
[...] Les besoins de financement des entreprises étaient largement supérieurs à la capacité de financement de l'économie, d'où la nécessité d'une création monétaire. L'épargne des clients ne suffisait plus à assurer les prêts. Les banques n'avaient aucun "complexe" à créer continuellement de la monnaie (malgré les dangers inflationnistes et le risque d'illiquidité) puisque la Banque Centrale assurait le refinancement. Les banques incitaient leurs clients à l'emprunt, profitant de l'inflation. L'inflation avait en effet pour conséquence d'alléger les dettes (les taux d'intérêt réels, c'est-à- dire calculés sans l'inflation, étaient particulièrement bas, voire négatifs). A l'inverse, elle rendait l'épargne très aléatoire. [...]
[...] Les MARCHES FINANCIERS sont les marchés de capitaux à long terme (généralement au-delà de 7 ans). En effet, les marchés de capitaux où se rencontrent les offres et les demandes de capitaux (agents à capacité de financement et agents à besoin de financement) se divisent en deux sous- ensembles, marchés monétaires et marchés financiers. Dans le marché financier les capitaux sont initialement obtenus contre l'émission de titres sur le marché primaire, puis ces titres sont revendus sur le marché secondaire où leur cours varie quotidiennement en fonction des offres et des demandes dont ils font l'objet. [...]
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