Introduction, générale, l'économie
En économie plusieurs courants, plusieurs manière de faire de l'analyse économique, à la différence des sciences exactes.
En conséquence face à une même question il n'y a pas les mêmes réponses, et face aux mêmes faits il n'y a pas les mêmes analyses. En plus comme les différents courants sont rivaux, les conclusions sont contradictoires.
A l'heure actuelle, un point de vue théorique domine : le courant néoclassique qu'on qualifie d'orthodoxie (dominant).
Par contraste, l'hétérodoxie rassemble tous les autres courants.
[...] Pourquoi le prix relatif de la voiture de la baguette est de 15000. La réponse des classiques à cette question : la valeur d'une marchandise est déterminée par la quantité de travail nécessaire à sa production. Cette question de la valeur est centrale pour Ricardo et cependant reste subordonné à celle du lien de la répartition du pendant et l'accumulation du capital. La théorie ricardienne de la valeur Nous verrons tout d'abord la distinction habituelle entre le sens valeur chez les néo-classiques ensuite on abordera dont la manière Ricardo délimite le domaine de l'économie politique et se faisant le domaine d'application de sa théorie de la valeur en distinguant 2 types principaux de bien. [...]
[...] L'offre de travail est égale à la somme de tous les prix ; Dans ce modèle il est impossible d'avoir une crise. Problème de la coordination des décisions individuelles : opposition entre optimisme et pessimisme en ce qui concerne le capitalisme. Pour les optimistes la crise est impossible, ou passagère, mais pas à cause du capitalisme, c'est à cause de l'intervention de l'Etat. Pour les pessimistes est le lot commun, de surproduction essentiellement, et elle peut durer longtemps. Les néoclassiques affirment que le marché (ou mécanismes de marchés, ou prix de marché) garantit la coordination des décisions individuelles indépendantes. [...]
[...] Pour Smith c'est une harmonie naturelle ou spontanée. De nos jours cette métaphore est mobilisée pour illustrer les vertus d'autorégulation du marché et les vertus de la liberté économique. Pour Smith les passions, i. e les penchant naturels de l'homme, dont l'intérêt personnel et le penchant à l'échange, causent la division du travail puis l'augmentation des richesses. Pour lui, tout ceci prêche en faveur de non intervention dans les affaires économiques. Du fait de ces penchants naturels, la poursuite par chacun de son propre intérêt, conduit à l'opulencegénérale sans qu'il soit nécessaire d'intervenir pour cela. [...]
[...] Par ce mécanisme, l'offre et la demande redeviennent égaux et le prix courant est égal au prix naturel. A contrario, le prix naturel est un prix abstrait ou reconstruit par une opération de calcul d'une moyenne arithmétique. Cette moyenne fait implicitement référence à la gravitation universelle postulée par Isaac Newton. - "Le prix naturel est donc, pour ainsi dire, le point central vers lequel gravitent continuellement les prix de toutes les marchandises. Différentes circonstances accidentelles peuvent quelquefois les tenir un certain temps élevés au-dessus, et quelquefois les forcer à descendre un peu au-dessous de ce prix. [...]
[...] C'est le problème de la croissance (accumulation) et du développement économique qui l'accompagne. La réponse commence avec Smith et continue avec Ricardo : Chez Smith on trouve la définition classique de cette richesse la richesse d'une nation est constituée par l'ensemble des choses nécessaires et commode à la vie, n'existant pas en quantité limité, que permet d'obtenir le travail annuel d'une nation c'est une définition très matérialistes car elle considère que des marchandises satisfaisant des biens et il n'est pas questions de services. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture