Les différents élargissements de l'Union européenne :
- 1957 : les six premiers pays
- 1972 : traité de la Haye qui prévoit un élargissement à neuf pays
- 1981 : entrée de la Grèce
- 1986 : entrées de l'Espagne et du Portugal
- 1995 : l'Europe des 15
- 2004 : l'Europe des 25
- 2007 : entrées de la Roumanie et de la Bulgarie (...)
[...] La dynamique de l'intégration européenne I. Les grandes étapes de la construction européenne Les différents élargissements de l'Union Européenne : 1957 Les six premiers pays : la France, l'Italie, la RFA et le Benelux (Belgique, Pays Bas et Luxembourg) Traité de la Haye qui prévoit un élargissement à neuf pays : Grande-Bretagne, Danemark et l'Ireland Entrée de la Grèce 1986 Entrées de l'Espagne et du Portugal 1995 L'Europe des 15 : entrées de la Suède, de l'Autriche et de la Finlande L'Europe des 25 : entrées de la République Tchèque, Slovaquie, Pologne, Chypre, Malte, Hongrie, Estonie, Lettonie, Lituanie et Slovénie Entrées de la Roumanie et de la Bulgarie. [...]
[...] On peut quand même considérer que l'intégration européenne laisse des marges de main-d'œuvre pour les politiques nationalistes fiscales. Exemple : les impôts sur les bénéfices restent très différentes d'un pays à l'autre (d'où la délocalisation des entreprises). Même quand il y a une harmonisation prévue, exemple sur la TVA à la France a pue notamment dans le bâtiment obtenir une sorte de dérogation. L'Europe sociale reste toujours à la traine, il n'y a toujours pas d'harmonisation des systèmes de politique sociale. [...]
[...] Quels sont les bénéfices d'une adhésion de la Turquie ? C'est une porte ouverte sur d'autres continents ce qui permettrait de consolider les liens économiques et stratégiques avec les pays derrières la Turquie. Se serait un moyen de pression pour faire respecter certains droits de l'homme. Un des avantages de Ricardo est souvent d'avoir des relations harmonieuses avec les autres pays. Les institutions européennes sont un moyen de renforcer ou de promouvoir l'intégration européenne. II. Les avantages de la construction européenne A. [...]
[...] Les économies d'échelle peuvent ne pas mener à des baisses de prix, donc il n'y aura pas de gains de productivité (se n'est pas tant la quantité de richesse qui compte mais la manière font on s'en sert), ils sont gardés par l'entreprise sous la forme de profit. La zone euro utilise la création monétaire pour relancer l'économie sauf si la Banque Centrale doit oui, mais cette augmentation ou diminution des taux d'intérêts de cette création monétaire va entrainer le reste des pays. Remarque : la BCE (Banque Centrale Européenne) tout comme la Bundesbank (banque centrale allemande) en son temps est indépendant du pouvoir politique. O = dépendance de la banque. [...]
[...] La banque centrale doit maintenir l'inflation à or pour cela, il doit primer ce qui ne favorise pas la croissance (pour que l'inflation diminue on doit baisser les crédits, il y aura donc une baisse de la demande, de l'emploi de la croissance, ce qui va entrainer la délocalisation des entreprises). Attention la BCE qui s'est fixée comme taux d'inflation inférieur à a pue ne pas favoriser une croissance importante dans l'union économique et monétaire. B. La politique budgétaire de l'UEM Politique budgétaire : c'est un instrument qui sert essentiellement à la relance de la croissance. Concernant le budget des pays membres de la zone euro, ce budget reste subordonné au respect des critères de convergence. [...]
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