Depuis 1973, le développement du commerce mondial résulte de l'augmentation de la production (qui s'est poursuivie malgré la crise) et, surtout, de la poursuite et même de l'accélération de la libération des échanges internationaux dans le cadre du GATT puis de l'OMC ainsi que des ententes régionales. Les échanges mondiaux de marchandises ont plus que décuplé en monnaie courante, passant de 578 milliards de dollars en 1973 à 6270 milliards de dollars en 2002. Les pays industrialisés d'Europe occidentale d'Amérique du Nord et des pays asiatiques (grâce au Japon, à la Chine et aux NPI) par des exportations mondiales. Les exportations au sein des grandes ententes régionales auxquels appartiennent ces pays (l'Union européenne, l'Alena et l'APEC) représentent entre la moitié et les trois-quarts de leurs ventes totales grâce à la libération des échanges internes. En revanche, l'essentiel des échanges des pays de l'ANSEA et du Mercosur s'effectuent de avec les pays extérieurs à l'organisation.
L'OCDE occupe une place essentielle dans les échanges mondiaux, plaçant 11 de ses membres parmi les 12 premiers exportateurs. Il s'agit des pays d'Amérique du Nord, du Japon, de six états de l'UE (Allemagne, France, Royaume-Uni, Italie, Pays-Bas, Belgique), du Mexique et de la Corée du Sud qui réalisaient à eux seuls plus de 60 % des ventes mondiales en 2002. Quant à la structure des échanges par secteur, elle reflète l'industrialisation du monde, les produits manufacturés représentant près des trois-quarts de la valeur des exportations de marchandises en 2002 (contre 54 % en 1980). Aux échanges de marchandises s'ajoutent les échanges de services commerciaux, qui représentent près du cinquième des exportations mondiales. Ils sont réalisés par les pays industrialisés, les Etats-Unis et l'UE étant les grands exportateurs en direction du Japon (dont le solde est déficitaire, contrairement à celui des marchandises) et des PED (...)
[...] Les pays industrialisés d'Europe occidentale d'Amérique du Nord et des pays asiatiques (grâce au Japon, à la Chine et aux NPI) par des exportations mondiales. Les exportations au sein des grandes ententes régionales auxquels appartiennent ces pays (l'Union européenne, l'Alena et l'APEC) représentent entre la moitié et les trois- quarts de leurs ventes totales grâce à la libération des échanges internes. En revanche, l'essentiel des échanges des pays de l'ANSEA et du Mercosur s'effectuent de avec les pays extérieurs à l'organisation. L'OCDE occupe une place essentielle dans les échanges mondiaux, plaçant 11 de ses membres parmi les 12 premiers exportateurs. [...]
[...] Elle dispose d'un capital souscrit par les pays membres, auquel s'ajoute le montant des emprunts que la banque peut émettre auprès de ces pays et sur les marchés financiers. De nombreuses institutions bancaires à vocation régionale interviennent sur tous les continents. La BERD en Europe ayant pour but d'aider les pays d'Europe de l'est. La Banque Européenne d'Investissement instituant la CEE et mise en service en Le Fonds Monétaire International. Quand la crise mondiale a commencé, la plupart des pays communistes restaient exclus du FMI. [...]
[...] Ces énormes besoins ont fait craindre un "déficit d'épargne" et la contraction des crédits à l'échelle mondiale (credit crunch) au début des années 90. Toutefois, les craintes éprouvées n'ont pas été vérifiés et l'abondance des liquidités internationales a permis un fort accroissement des mouvements de capitaux depuis le milieu des années 90. Ainsi, les 25 dernières années ont été marquées par une véritable "révolution de l'argent" qui s'est manifestée par la croissance sans précédent des prêts bancaires internationaux, dont les encours sont passés de 324 milliards de dollars en 1980 à plus de milliards de dollars en 2002. [...]
[...] La richesse financière du Japon est impressionnante: la Banque du Japon (BoJ) la banque centrale gère, pour le compte de l'État, les réserves de change les plus élevées du monde milliards de dollars (à la fin mars 2002). Ces avoirs, placés majoritairement en dollars, font de la BoJ le premier créancier du Trésor Américain. Toutefois, la situation de l'Allemagne et du Japon a changé au début des années 90 car, dans le premiers cas, la réunification du pays a rendu prioritaires les investissements dans l'ex RDA, réduisant d'autant les flux vers l'extérieur, tandis que, dans le second cas, les difficultés financières et économiques du pays ont entraîné l'effondrement du système bancaire La prodigieuse croissance des activités boursières Le décloisonnement des marchés. [...]
[...] La circulation intense des capitaux à l'échelle mondiale à tout contrôle national ou supranational. Une part croissante des activités bancaires, celles qui ont une dimension internationale, échappe à toute réglementation Les crédits bancaires ne constituent qu'une partie des liquidités détenues principalement par le secteur privé qui appartiennent aussi aux compagnies d'assurances, aux caisses de retraite (notamment les fonds de pension américains) et, bien entendu, aux entreprises multinationales. Tous ces acteurs de l'activité financière internationale interviennent sur le marché des euromonnaies dont la principale est l'eurodollar Les paradis fiscaux. [...]
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