Schumpeter est un économiste de la première moitié du 20e siècle .Il a essayé de comprendre les cycles économiques et a rédigé une histoire de l'analyse économique. Schumpeter a voulu faire une histoire des idées économiques de l'antiquité à nos jours en un panorama très complet des idées économiques.
Les idées économiques se sont surtout développées à partir du 18e siècle. Il y a eu un développement dans l'antiquité avec Aristote mais son travail restait un ouvrage de référence. Schumpeter a présenté 3 arguments pour justifier l'intérêt à la pensée économique : les avantages pédagogiques, l'histoire de la pensée permet de faire surgir des nouvelles idées, enfin, la pensée économique dévoile les démarches de l'esprit humain.
[...] La demande anticipée détermine la production et non l'inverse. Les entrepreneurs doivent prévoir la demande pour pouvoir produire. Cette relation n'est pas générale parce que la réalité se passe différemment. La production dans certains domaines n'est pas assez dynamique . Une économie de la demande : Le niveau de la production est déterminé par la demande, par les prévisions de dépenses de consommation qui sont endogènes. Cela signifie que les dépenses de consommation dépendent du revenu. Par contre, les dépenses d'investissement dépendent du taux de profit et du taux d'intérêt. [...]
[...] Il y a des remarques de nature de la transaction. Les hypothèses de comportements : La rationalité limitée : On a une dimension neurologie donc limite dans l'information et aux langages. Ce qui s'oppose à la théorie néoclassique. Un individu ne peut pas traiter toutes les informations disponibles. Il est difficile de prévoir d'envisager tout l'ensemble de l'événement dans le futur .On est dans une situation d'incomplétude. Établir des transactions c'est de mettre en place des systèmes de confiances, de surveillance dans les échanges des individus. [...]
[...] Les banques accordent de crédit à des entreprises. Les entreprises achètent entre elles les investissements et paient de salaires aux ménages. Les ménages épargnent et remboursent ce montant de crédit. Il s'agit d'une création monétaire parce que la monnaie sert à créer la production. La monnaie n'est pas un simple moyen d'échange. Par ailleurs, l'État peut agir sur le taux d'intérêt pour modifier la quantité de monnaie et l'activité économique. Le marché de travail : Keynes accepte un postulat classique. [...]
[...] Donc il y a une modification de la demande pour une modification de l'offre. S'il y a une hausse de salaire, il y aura une partie de travailleurs qui ne trouveront pas d'emplois. II La loi de Jean Baptiste Saif : La loi des débouchés L'offre crée sa propre demande Lorsqu'il y a une production, elle crée simultanément un revenu et un pouvoir d'achat et aboutit une demande. Il existe toujours un débouché automatique de l'offre. Y = C + S D = C + I À l'équilibre : Y = D soit C + S = C + I donc I = S À l'équilibre, la consommation est égale à l'épargne. [...]
[...] Toute variable réelle reste inchangée. SECTION II : LA THÉORIE KEYNÉSIENNE Le modèle qui s'oppose avec le modèle classique. L'ajustement économique se fait par les quantités et pas par les prix. Ce sont les quantités d'équilibre. Ils se situent au niveau de la demande et non pas au niveau de l'offre. I Présentation de l'auteur : Keynes est l'économiste de Cambridge. Il a été détruit par Marshall. Il rejette la thèse du laisser-faire et faire intervenir le rôle du gouvernement. [...]
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