Idées économiques, mercantilistes, néo-classiques, Marx, économie politique, Etat
Au XVIe et XVIIe, apparait un nouveau type de discours qui s'autonomise par rapport aux autres disciplines, il s'agit d'un discours qui dessine les contours d'un chant de connaissances, d'un chant de savoirs particuliers, ce discours c'est précisément l'économie politique qui est en rupture avec la pensée économique diffuse des siècles passés. En d'autres termes l'intérêt pour les sujets, domaines… à tonalité économique n'est pas une chose nouvelle. L'économie politique s'intéresse à l'accumulation de la richesse et au meilleur moyen d'y parvenir. Les mercantilistes sont des auteurs qui vouent une véritable fascination à l'Etat avec les auteurs préclassiques comme les physiocrates, on peut considérer que c'est le marché qui fera l'objet d'une autre fascination. Les classiques eux aussi seront des auteurs particulièrement préoccupés par les mécanismes de marchés et on peut dire que le point d'orgue de cette fascination pour le marché, on le trouvera chez les néoclassiques. Il faut inscrire la critique de l'économie politique de Marx. Conduit à un approfondissement de la connaissance de l'économie. D'autre part Keynes, a mis en doute la confiance que l'on pourrait accorder au libre fonctionnement des marchés en particulier pour atteindre une situation de plein emploi et des capacités de production et de la main d'oeuvre, ce qui veut dire qu'il y a eu des réévaluations en ce qui concerne la place du marché, une analyse précise du rôle que peut jouer l'Etat. Identifier des écoles de pensées n'est pas une chose facile, en effet au-delà de certaines oppositions qui sont claires ou encore des ruptures évidentes, cela peut être envisageable dans certains cas. Le savoir économique procède selon une voix cumulative, au fur et à mesure que le temps avance, les représentations du fonctionnement économique évoluent.
[...] Ces individus s'installent comme artisan ou pire deviennent des vagabonds ou des mendiants. Il y a donc selon lui un système fiscal qui correspond à une pression très forte qui a pour conséquences que ces gens préfèrent désertés ces zones géographiques, au gré du sort, au gré de la fortune. L'auteur met en cause ce qui existe à l'époque, les multiples prélèvements fiscaux qui accable littéralement la classe productive. On peut rappeler que la gabèle, taxe sur le sel qui concerne le territoire français déjà au Moyen-Age. [...]
[...] la monnaie ne fait que rendre compte sans aucune influence de ce qui se joue soit sur le plan du travail, soit sur le plan de l'utilité. Pas d'effet spécifique. Par ailleurs, la monnaie n'est jamais demandé pour elle-même, chez les classiques. Elle n'est qu'une simple unité de compte qui rend les transactions plus faciles. Depuis Aristote, monnaie : Unité de compte Instrument des échanges Réserve de valeur Les classiques ne lui attribuent que les deux premières fonctions, mesure et circulation de la valeur. N'est jamais considérée comme de encaisse liquide. Le statut neutre de la monnaie impossibilité de toute crise générale de surproduction. [...]
[...] Plus qu'une division technique du travail nous voyons apparaitre une division sociale du travail. - La très grande spécialisation des ouvriers > Accroitre leur habilité dans une tache spécifique - Le gain de temps > l'individu n'a plus à passer d'une tache à une autre - La division du travail est source d'invention de nouveaux équipements spéciaux à chaque ouvrier Il existe des obstacles à cette division du travail : - L'étroitesse du marché (il faut un marché suffisamment grand pour permettre un échange) - Abêtissement des travailleurs exécutant tout le temps la même tâche Smith distingue valeur d'usage et valeur d'échange des entreprises La valeur d'usage est liée à l'utilité de la marchandise La valeur d'échange rend compte de la valeur relative d'un bien Certains biens sont dotés d'une forte valeur d'échange et d'une faible valeur d'usage et inversement. [...]
[...] Elle dépend du temps de travail demandé par la prod° d'une marchandise. Marx parle Quantum de substance créatrice de valeur correspondant à ce temps de travail. La quantité de travail a pour mesure sa durée dans le temps et le temps de travail possède sa mesure dans les différentes parties du temps tels que l'heure, la journée, la semaine Les différents travaux privés dans le sens ou la prod° Kiste s'effectue concrètement dans un nombre très important de lieux séparés les uns des autres ne peuvent revêtir une forme sociale que dans le cadre de l'échange. [...]
[...] Si bien que cela donne naissance à une plus-value : entièrement accaparée par la classe Kiste. Antagonisme entre le prolétariat et la classe Kiste qui engendre une lutte des classes société communiste. Ce mode de Y se développe grâce à une reproduction élargie du K : fruit de la concurrence entre Kiste + surpopulation relative de la main-d'œuvre ouvrière + concentration du K. Ce dév est ponctué de déséquilibres sectoriels et il existe une tendance de fond : baisse tendancielle du taux de profit + crises récurrentes A terme le mode de Y Kiste est voué à connaitre des tensions très fortes mobilise le fer-de-lance de l'émancipation humaine : classe sociale prolétaire. [...]
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