Histoire de la pensee economique - publié le 03/11/2011

Thèmes abordés

Histoire, pensée, économique

Résumé du document

L'économie est l'ensemble des règles de conduite de l'activité domestique avant qu'elle s'étende vers la cité, la nation. Jusqu'à la fin du 16ème siècle, c'est la morale qui définit les règles (textes religieux). Elle affirme son autonomie par rapport à la morale au 18ème siècle. C'est une science qui étudie le comportement humain en tant que relation entre les fins et les moyens et à usage alternatifs.
Lorsqu'apparait la production pour une marché, lorsque de brusques fluctuations de prix causent la ruine des producteurs, lorsque l'argent nécessaire au développement dissout les anciennes relations sociales, les premières questions de nature économique se posent. La première pensée économique apparait donc dans la Grèce antique. De même, nous constatons que l'économie politique connait un extraordinaire développement en Europe occidentale à partir du 18ème (dev de la production capitaliste).

Extraits

[...] Les remèdes à la crise Il n'y a pas de mécanismes automatiques qui rend automatiquement la prospérité, l'état doit agir pour assurer une situation proche du plein emploi, par une relance de la demande effective en agissant sur la demande intérieure. Il doit faire en sorte que les taux d'intérêts restent attractifs par la politique monétaire mais il existe un taux d'intérêt insuffisant (trappe à liquidité) ayant des conséquences sur l'investissement. Il faut mettre en place une politique budgétaire. Le couplement des politiques pour relancer l'économie fait l'état providence. [...]

[...] Les concepts clés de l'analyse néo-classique L'homo economicus est considéré comme rationnel. La concurrence pure et parfaite Concurrence pure : atomicité :chacun est de taille et de poids a peu près égale, donc personne ne peut fixer les prix, No price maker onlypricetaker »fluidité : chacun des acteurs peut entrer et sortir du marché comme il le souhaite, homogénéité :Les produits doivent être suffisamment semblables entre eux, pour que la seule différence soit leur prix. Concurrence parfaite : transparence : Information parfaite, tout le monde détient au même moment une information parfaite, à jour et non biaisé.mobilité des facteurs de production. [...]

[...] Il montre que l'accroissement de cette richesse est du à celui des pouvoir productifs du travail humain, lui-même lié aux progrès de la division du travail (exemple célèbre de la manufacture d'épingle).la division du travail permet l'accroissement de la productivité des travailleurs du à leur spécialisation, une économie de temps, car ils ne passent pas d'un travail à un autre et l'utilisation plus fréquente des machines. Elle est permet aussi les échanges entre les individus. Smith pose le problème de la valeur d'échange des biens. [...]

[...] On note aussi une différence au sein du champ d'analyse. Pour Marx la société est basée sur les classes sociales. Smith et Ricardo avait compris que la société se compose de classes sociales et que l'économie doit expliquer les lois qui régissent les phénomènes économiques au niveau macro de l'ensemble de la société. Or chez les néo, il n'existe pas de classes sociales ou de groupes sociaux. Les phénomènes économique et sociaux ne peuvent être analysé qu'à partir du comportement des individus, libre et égaux, qui décident de travailler ou non, de produire ou non, de consommer ce toujours dans l'intention de maximiser leur satisfaction, compte tenu des ressources qu'ils disposent. [...]

[...] Il explique que l'échange a pour but la satisfaction des besoins de plus en plus divers avec des producteurs de plus en plus spécialisés. Il fait une distinction importante entre valeur d'usage (satisfait un besoin) et valeur d'échange (sert à obtenir un autre bien). Aristote met l'accent sur les deux fonctions de la monnaie : elle exprime la valeur des marchandises et est l'instrument de circulation des marchandises. Le premier aspect de l'échange marchant est celui qui satisfait un besoin ou l'argent n'est qu'un instrument de circulation. [...]