Objet de ce cours : répondre à la question « Qu'est-ce que la richesse ? » (plus spécifiquement : « Qu'est-ce que la valeur d'un bien ? »), essentiellement sous l'angle historique.
Sujets étudiés :
? le mercantilisme (XVIe-XVIIe siècles) p. 1
? la physiocratie (XVIIe-XVIIIe siècles) p. 2
? la révolution industrielle en Grande-Bretagne (1760-1830) p. 4
? Les classiques
? Adam Smith (1723-1790) p. 5
? David Ricardo (1772-1823) p. 6
? Thomas Robert Malthus (1766-1834) p. 8
? Karl Marx (1818-1883) p. 8
? Les marginalistes ou néoclassiques
? Jean-Baptiste Say (1767-1832), précurseur des néoclassiques p. 11
? Les néoclassiques p. 11
? La situation du Royaume-Uni après 1918 p. 19
? La crise de 1929 p. 20
? John Maynard Keynes (1883-1946) p. 21
? Le New Deal p. 23
? Les crises pétrolières p. 23
? Les crises financières p. 25
[...] 1941) puis, par une diplomatie active, prépare l'après-guerre. Il est réélu en 1944, mais meurt en avril 1945. (Le Petit Larousse Illustré 2000) Stagflation : Situation d'un pays qui souffre de l'inflation sans connaître un niveau élevé de croissance ni le plein-emploi. (Le Petit Larousse Illustré 1998) Pétrodollar : Dollar provenant des ventes de pétrole par les pays exportateurs, placé par l'entremise du système bancaire international. (Le Petit Larousse Illustré 1998) Cet encadré ne provient pas des notes du cours de J. [...]
[...] Il ne peut, au mieux, que le déplacer. La conclusion est qu'il faut laisser le marché réguler l'économie (par la confrontation de la demande et de l'offre). Comme Jean-Baptiste Say, Pareto pense que, si on laisse jouer le marché, la crise générale ne peut pas exister. Mais cette analyse néoclassique (dont les fondements sont toujours très valides) va être mise à mal par la crise de 1929. En effet, en 1929, on observe une crise énorme de surproduction (les entreprises ont trop produit et n'arrivent plus à vendre) et un krach boursier. [...]
[...] On avait une monnaie forte et stable. Pendant la guerre, comme les dépenses militaires sont faites en or, en supprime cette convertibilité. En 1921, Churchill décide de la réinstaurer. L'idée du gouvernement est que les agents économiques reprendraient ainsi confiance dans la valeur de la monnaie. Mais ce qui se produit, c'est que la livre devient plus chère. Et donc que le prix des marchandises à l'exportation devient plus élevé. Au lieu d'augmenter, les parts de marchés du Royaume-Uni continuent à être perdues au profit des Etats-Unis. [...]
[...] Ca a aussi des effets inégalitaires, on comprend bien pourquoi. Auparavant, dans l'entreprise qui allait de l'ingénieur expert au balayeur, il y avait une grille des salaires. Cette grille des salaires, tout le monde était dedans (évidemment, le balayeur était en bas, l'ingénieur était en haut), puis cette grille évoluait. A partir du moment où le balayeur disparaît de l'entreprise pour se retrouver dans une entreprise de nettoyage, il n'est plus du tout dans la même grille des salaires et il y a de fortes chances, comme il y a une forte compétition dans ce secteur, que son salaire ait tendance à baisser tandis que, réciproquement, l'ingénieur qui se retrouve avec une petite équipe d'ingénieurs de très haut niveau ne va même plus être un salarié : il va avoir des stock-options et il va devenir un actionnaire de son entreprise. [...]
[...] C'est le cycle le plus long de l'économie. Il a une périodicité de 47 à 60 ans. Il consiste en une période de croissance forte sur une trentaine d'années suivie d'une période de croissance faible sur une autre trentaine d'années. C'est quelque chose d'assez intrigant, et qui est toujours expliqué à posteriori. Les travaux de Kondratiev ont commencé dans les années 1930. Kondratiev s'est intéressé à l'économie depuis 1790 en Grande-Bretagne. ( 1790-1815. De 1790 à 1815, on a une forte croissance. [...]
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