désorganisation d'une société, école classique, Frederick Winslow Taylor, organisation scientifique du travail, Taylorisme, Henry Ford, industrie automobile, Fordisme, Henri Fayol, organisation administrative, Division du travail, Georges Elton Mayo, Douglas Mac Gregor, Abraham Maslow, pyramide des besoins de Maslow, théorie de la contingence, Mitzberg
« La structure d'une organisation peut être définie simplement comme la somme totale des moyens employés pour diviser le travail entre tâches distinctes pour ensuite assurer la coordination entre ces tâches » Mintzberg, 1982
Comment déterminer les critères de la réussite d'une entreprise ?
Question du pouvoir derrière celle de la coordination, comment coordonner les gens pour qu'ils travaillent bien ensemble ?
[...] Quasi absent La vie sociale d'un groupe commande autant que les normes formelles Les motivations ? Pécuniaires Préoccupation affectives, besoin de reconnaissance III/ les théories de contingences L'organisation comme système « La structure d'une organisation peut être définie simplement comme la somme totale des moyens employés pour diviser le travail entre tâches distinctes pour ensuite assurer la coordination entre ces tâches » Mintzberg Comment déterminer les critères de la réussite d'une entreprise ? Question du pouvoir derrière celle de la coordination, comment coordonner les gens pour qu'ils travaillent bien ensemble ? [...]
[...] Il existe 3 types de production : à l'unité/ en série/ en continu Résultat 1 : Les entre les plus performante sont celles qui se rapprochent le plus de à leur groupe d'appartenance, la techno influence les types de structures Résultat 2 il existe DES façons de diriger l'entreprise Type de techno Production unitaire Production de masse Production en continu Complexité technologique Faible moyenne élevée Structure générale Organique : Peu de hiérarchie Peu de formalisation Organisation en petits groupes Mécaniste : Superviser les salariés Formalisation et centralisation élevée Faible qualification des travailleurs Organique : Beaucoup de hiérarchie Faible centralisation et formalisation Organisation en petits groupes Secteur d'activités Artisanat, prototypes Automobile, aciérie Raffinage, traitement des déchets La taille / Peter Blau 1918-2002 : Plus l'entreprise est grande plus les manageurs auront plus de salariés à leurs charges La taille fait que l'on fait des économies sur le personnel encadrant Cyril Northcote Parkinson 1909-1993 : Plus l'entreprise augmente plus il y a de gens qui encadrent, les postes de manageurs se superposent La taille influence la structure La stratégie : Alfred Chandler 1918-2007 : en fonction de la stratégie de l `entreprise la structure va changer Les entreprises on 8 ou 3 différentes fasses, son but faire beaucoup et s'agrandir en fonction de sa stratégie elle essaie de s'implanter à différents endroits géographiques, elle va essayer de devenir plus grande en rachetant ses fournisseurs. Puis se scinde en plusieurs petits groupes autonomes (entreprises du K40). [...]
[...] Utilisation du mot « besoin » vivement critiqué. Conclusion : les apports de l'école des relations humaines aux théories classiques Théorie classique Ecole des relations humaines La hausse de la productivité ? Lié à l'organisation du travail (division) Lié à l'intérêt que l'on porte au travailleur Le rôle informel ? [...]
[...] La structure divisionnalisée : correspond aux grands groupes qui possèdent plusieurs firmes L'adhocratie : pas de soutien, ni de techno structure, ni de ligne hiérarchique, pour les entreprises plus petite dans laquelle le sommet stratégique et le centre opérationnel ont un lien très étroit du fait de la qualification élevée des salariés Conclusion : Encastrement des sciences de gestion dans les disciplines voisines. (Gérer ne veut pas dire science de gestion) difficulté à avoir une reconnaissance académique Rôle fondamental du contexte historique, économique et politique dans le développement des théories des sciences de gestion. [...]
[...] les fondateurs de la théorie des organisations : l'école classique Frederick Winslow Taylor (1856-1915) : l'organisation scientifique du travail (OST) Un ouvrier zélé : À l'origine T est un ouvrier qui monte les échelons, il a identifié une bonne manière de travailler pour qu'une entreprise fonctionne mieux. Distinction entre exécution et conception, début de la gloire pour une entreprise « Vous n'êtes pas ici pour penser » penser de Taylor Pas de conflit entre employeur et salarié, ont les mêmes intérêts, les deux sont unis vers la réussite de l'entreprise Trois conception pour la réussite, OST Utilisation maximal de l'outillage, pas de temps morts, l'homme passe au service de la machine ils doivent organiser leurs façons de travailler, dépendance des machines Suppression des gestes inutiles, être efficace Déconstruire le travail en tache et le préparer Du taylorisme à l'OST Division horizontale du travail : multitude de taches tache pour 1 employé, (spécialisation, rapidité,) Division verticale du travail : chef, employé Système de salaire au rendement : payé en fonction de ce que vous produisez Système de contrôle du travail : intervention d'un contre maitre Diffusion de ses idées Henry Ford : l'application des principes de Taylor à l'industrie automobile Une origine modeste : il a tenté de monter des milliers d'entreprise jusqu'à l'une de ses réussites Les premiers succès de Ford : 1908, la Ford-T : emblème de la réussite américaine model de l'homme à succès aux EU L'autre facette de l'homme, un antisémite féroce : quelqu'un de très sévère, strict, peu ouvert, anti jazz Le fordisme : l'aboutissement des préconisations de Taylor : standardisation Les grands principes de Ford dans son usine : (Les trois grands principes du fordisme) Travail à la chaîne, les pièces viennent jusqu'aux ouvriers pour être assemblé, complétement soumis par la ligne d'assemblage Standardisation de la production Le pouvoir d'achat : five dollar a day Henri Fayol (1841- 1925) : l'organisation administrative du travail Pionnier de la gestion et du management : Issu d'une famille bourgeoise, refusé à polytech (devient anti-polytechnicien) Contexte 3 types de patrons, les entrepreneur et administrateurs publiques (rattachés à l'état), les ingénieurs (formés à être gérants) essor de la classe dirigeante tout ce que Fayol méprise Finit prof à HEC dans le but de former les enfants des familles bourgeoises Fayol est un grand opposant au syndicalisme : Le chef doit être libre, doit commander, réorganiser l'état fonctions dans l''entreprise Technique : comment produire Commerciale : acheter/vendre Financière : rechercher et optimiser au mieux les capitaux De comptabilité Administrative : comment commander pour être efficace Les prérogatives d'un bon chef La prévoyance : un bon chef est un chef qui anticipe et planifie (début de la gestion) Vision pragmatique : un chef charismatique, motivant avec un discours « politique » Autorité : vouloir, ne pas avoir peur de commander, d'imposer Qui contrôle : l'entreprise, les individus Fédérer les individus : sentiment d'appartenance qui les dépasse (comme un membre d'une famille) Les principes de bonne gestion La division du travail : il y a des gens qui décident et des gens qui exécutent L'autorité : il faut savoir se faire obéir Discipline : les travailleurs doivent être disciplinés L'unité de commandement : chaque travailleur doit être sous son commandement Unité de direction : doivent être engager dans la même façon de produire, même objectif L'intérêt général prime sur l'intérêt individuel du travailleur Le salaire : donner une rémunération juste Centralité des éléments dans l'entreprise vers le chef Hiérarchie : chacun à un pouvoir bien déterminer par une situation hiérarchique claire Gérer convenablement les stocks Equité : combinaison de gentillesse et de justice Stabilité du personnel : pour une meilleure santé de l'entreprise Initiative : Unité du personnel et des gens : la bienveillance aide à l'harmonie de l'entreprise, esprit d'équipe de cohésion Conclusion : les critiques de l'école classique Une école, plusieurs questions : Des critiques conceptuelles : on cherche un « bon model », chaque homme est interchangeable sur la chaine de montage, théorie déshumanisé, chaque personne est réduite à sa fonction Des critiques sur le modèle : II/ l'école des relations humaines Les origines de la théorie La redécouverte de la dimension humaine de l'entreprise Courant marqué par la psychologie On peut améliorer la production autrement Georges Elton Mayo et les bienfaits de la considération (1880-1946) Très connu dans la sociologie, permet de faire baisser le turn over de 250% à fait également baisser la dépression et l'alcoolisme en mettant en place des pauses. [...]
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