Ce document est un cours complet d'économie, il reprend de manière synthétique les différentes érapes du circuit économique, depuis la création de la monnaie jusqu'à la description des grands échanges internationaux et du mécanisme de la croissance. En voici quelques extraits : "La monnaie est un intermédiaire des échanges. Avant la monnaie il y avait le troc. La monnaie dissocie le troc et deux opérations distinctes, les marchandises s'échangent contre de la monnaie et la monnaie s'échange contre de la marchandise. La monnaie permet de résoudre le problème de la coïncidence des besoins. Elle permet de réduire les couts de stock. La monnaie a permis la spécialisation qui est source d'amélioration de la productivité.
La monnaie est un instrument de compte. C'est une unité de mesure de la valeur. C'est une mesure d'information sur les biens qui sont exprimés en monnaie ce qui simplifie l'information sur les prix pour les agences économiques. La monnaie est-elle un instrument d'épargne ? La monnaie représente un pouvoir d'achat. Il peut être différé dans le temps grâce à la menace, car elle n'est pas périssable. On peut épargner sous plusieurs formes. La thésaurisation (conservé chez soit en liquide). L'épargne placée (compte ou action ou encore assurance)"
"La masse monétaire représente la quantité de monnaie en circulation de l'économie. La monnaie en circulation est celle détenue par des agents non financiers. On mesure la masse monétaire avec un agrégat, notamment M1. M1 est compatible, les pièces, les billets, et les dépôts à vue qui sont assortis de moyens de paiement détenus par les agents non financiers. Les pièces et les billets détenus par les banques parce qu'ils ne circulent pas. Dans notre économie les billets représentent 16% de M1 et 84% de la monnaie scripturale."
"Les économistes ne pouvaient se contenter des facteurs qui n'expliquent que la moitié de la croissance il existe donc un tiers facteur appelé globalement progrès technique. Il s'agit de l'ensemble des facteurs qui permettent d'augmenter la production sans pour autant augmenter les facteurs (capital et travail) de base. Le progrès technique est l'ensemble des innovations qui entraînent une transformation ou un bouleversement des moyens et ou des méthodes des marchés ou encore des structures de l'économie. Le progrès technique serait incorporé au facteur de production en augmentant leur productivité. Ils permettraient d'accroître le volume du PIB sans avoir recours à plus de facteurs de base."
"Le PIB de l'Union européenne ne cesse d'augmenter, il était jusqu'en 2004 supérieur à celui des États-Unis. L'Union européenne et les États-Unis sont deux puissances comparables au niveau du PIB. Avec un PIB trois fois supérieur à celui du Japon. Lorsque l'on étudie le critère du PIB par habitant, celui de l'Union européenne des 25 pays est inférieur à celui de l'union des 15. Ce qui démontre l'écart de richesse entre les 10 nouveaux pays membres de l'Union européenne depuis 2004 et les 15 autres états déjà membres de l'Union européenne. Par ailleurs, le PIB par habitant de l'Union européenne des 15 est une fois et demie inférieure à celui des États-Unis. Néanmoins, la croissance de l'Union européenne est supérieure à celle du Japon sur la période 2004 2006."
[...] Les décisions de politique monétaire n'ont pas pour objectif de favoriser un pays ou un autre, le rôle de la banque centrale est en effet limité à la surveillance de l'inflation dans la zone euro. C'est la raison pour laquelle la banque centrale européenne dispose d'un statut indépendant des gouvernements de la zone euro. Chapitre 3. Le financement de l'économie I. Les capacités et les besoins de financement des agents économiques. A. Quels sont les besoins et capacités de financement des agents économiques ? 1. La situation financière des agents économique. Les agents économiques disposent de ressources financières. Ils éprouvent des besoins de financement. [...]
[...] Les grandes notions économiques Chapitre 1. La monnaie I. LA FONCTION DE LA MONNAIE A. Quel rôle la monnaie remplit elle dans l'échange ? a. La monnaie est un intermédiaire des échanges. Avant la monnaie il y avait le troc. La monnaie dissocie le troc et deux opérations distinctes, les marchandises s'échangent contre de la monnaie et la monnaie s'échange contre de la marchandise. La monnaie permet de résoudre le problème de la coïncidence des besoins. Elle permet de réduire les coûts de stock. [...]
[...] - Le déficit public ne doit pas être supérieur à du PIB. - La dette publique doit être inférieure à 60% du PIB Phase trois : 1er janvier 1999 1er janvier 2002 Instauration progressive de l'euro. II. L'Union européenne aujourd'hui A. Quelle est sa place aujourd'hui dans le monde ? Le PIB de l'Union européenne ne cesse d'augmenter, il était jusqu'en 2004 supérieur à celui des États-Unis. L'Union européenne et les États-Unis sont deux puissances comparables au niveau du PIB. [...]
[...] Libre échange et protectionnisme A. Qu'est-ce que le libre échange Le libre échange est une doctrine et une politique économique commerciale prônant la liberté de circulation de tous les biens économiques (produits, services, capitaux, monnaie) entre les pays et se traduisant par la réduction et l'élimination des obstacles aux échanges. Adam Smith à la fin du XVIIIe Siècle explique que chaque pays a intérêt à se spécialiser dans les productions pour lesquels ses cours de production sont inférieurs à ceux des autres pays. [...]
[...] La croissance obéit à des fluctuations ainsi sur un même cycle se succèdent 4 phases : - Une phase d'expansion - Une phase de récession c'est-à-dire de ralentissement du rythme de la croissance - Une phase de retournement (crise) - Une phase de dépression qui correspond à la baisse de production 3. Les limites de la croissance. Le PIB comme étalon de la croissance permet des comparaisons internationales, cependant le PIB comme indicateur comporte des limites - Il ne comptabilise pas la production de l'économie souterraine ni la production domestique ni le bénévolat - Il ne prend pas en compte les externalités qu'elles soient négatives ou positives. - Le PIB sous-estime des activités non marchandes puisqu'elles sont évaluées au coût de production (coût de revient). B. Comment mesure-t-on la croissance ? [...]
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