Gestion, évaluation firme bancaire, rentabilité, risque de crédit, risque des liquidités, produit net bancaire, provisions pour impayés, dividendes, charges interbancaires
Le PNB est calculé avant imputation des frais généraux et des provisions pour impayés. Les revenus de type "intérêts" correspondent à tous les intérêts que reçoit la banque, même s'il s'agit de loyers (sociétés de crédit/bail, int. reçus) ou de dividendes pour détention d'actions (intérêts versés) et toutes les charges de même nature, et interbancaire.
[...] Les ruées modernes se font sur les marchés interbancaires. Tensiosns sur le marché, période de crise : risque d'illiquidité peut être très problématique pour la banque. Risque de taux et de marché également (baisse des indices boursiers), + risque de crédit (hausse de chômage, tensions . Too big to fail, banques systémiques, donc question du prêteur en dernier ressort. Concept d'aléa moral : banques savent qu'elles ont un impact systémique sur le système bancaire, vont être moins vigilantes quant au risque, grâce au filet de sécurité réserve BC. [...]
[...] ET interbancaire. Plus ou moins-values : opérations sur titres du portefeuille de la banque • De cession : vente effective du titre (différence entre prix achat/vente) • Latentes directement comptabilisées en valeur de marché pour les titres du portefeuille de négociation (variation de la valeur du titre détenu), soit provisionnées* (en cas de dépréciation du titre en valeur d'achat) s'il s'agit de titres de placement *Ex : Prix t=1 : 500€ Prix t=3 : 300€ Donc -200€ provisionnés en risques et charges Le PNB prend donc en compte le risque de marché : plus ou moins-values sur titres, mais pas celui de crédit, car pas de dotation aux provisions pour dépréciation d'un crédit client. [...]
[...] Banque et assurance : du PIB en France B. Les autres SIG : Bilan (ce que détient la banque, et provenance des fonds), hors bilan, et CDR (évaluation de la rentabilité) Résultat brut d'exploitation : retrancher des charges d'exploitation bancaire sur le PNB. Frais généraux et amortissements pour immo corporelles et incorporelles. Donc RBd'E = PNB – (Charges d'exploitation bancaires + amortissement pour immo corporelles et incorporelles) Marge qui se dégage de l'activité courante après prise en compte des coûts de fonctionnement. [...]
[...] Montant d'actifs par unité de capital : ROE = RN/actifs * Actifs/FP EM, toujours supérieur à Exemple : BqA fortement capitalisée : actifs de 100 millions€, fonds propres de 10millions€ EM : 100/10 : 10 millions€ BqB : même nombre d'actifs, mais plus faiblement capitalisée : 4millions, EM = 25milions€ Hypothèse : même rentabilité des actifs, le ROA est identique, mais le ROE est supérieur ROEb = 1%*25=25% ROEa = ROAa*EMa=1%*10=10% Pour un ROA donné, plus le capital bancaire est faible, plus la capacité financière (ROE) est élevée. On comprend dès lors les avantages et inconvénients du capital de la banque du point de vue des actionnaires. Premièrement, avoir plus de capital est avantageux pour les actionnaires dans la mesure où il rend leur investissement plus sûr en réduisant la probabilité de faillite. Mais d'un autre côté, plus de capital veut dire moins de rentabilité financière pour les actionnaires. [...]
[...] Coefficient d'exploitation : évalue le poids des frais généraux dans le PNB (productivité). Frais généraux/PNB, représente généralement ratio de productivité par agent, convenable en deçà de 65%. Si baisse : les frais généraux ont augmenté, ou sont excessifs compte tenu du nombre d'opérations réalisées (mauvaise productivité). = Conséquence d'une contraction du PNB à moyens inchangés. PNB/total effectif ; PNB moyen/nombre d'agences ; Crédits octroyés/effectif salariés ; Dépots/effectif En 2008 : 84,4% car comportement pro cyclique/rationnement ; En car licenciements ; En 2017 : 69,6% car beaucoup de recrutements. [...]
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