Les fonctions macro-économiques, fiche d'économie de 10 pages
Consommation finale des ménages : achats de biens courants ou durables en vue de la satisfaction directe de leurs besoins. Leur épargne est la partie du revenu dispo qui n'est pas affectée à la consommation, elle pt être thésaurisée sous forme de billets ou de dépôts à vue ac un rendement nul ou quasi nul ; elle pt être placée sur le marché financier sous la forme de titre de créance, ou aussi directement investie par les ménages pour l'acquisition de nouveaux logements
A ) LA CONSOMMATION ET L'EPARGNE
B ) L'INVESTISSEMENT
C) EXPORTATIONS ET IMPORTATIONS
D)DEPENSES ET PRELEVEMENTS PUBLICS
[...] Or profil typique du revenu d'un agent est fortement contrasté : nul ou faible pdt sa jeunesse, son revenu s'élèvera à l'âge adulte pr se réduire brusquement qd il prendra sa retraite. Le profil de la conso qu'il souhaite est ss dte plus régulier, p-ê légèrement croissant. L'indiv type emprunte dc ds sa jeunesse puis rembourse. [...]
[...] Ainsi, la baisse du taux d'intérêt augmente la profitabilité des projet et favorise l'investissement or, à certaine période, tx d'intérêt étaient faibles, les perspectives de dvpmt des ventes étaient bonnes, mais peu d'investissement. Keynes expliquait cette situation paradoxale par un 3è facteur de nature psychologique, les esprits animaux : sentiment d'euphorie ou de déprimez collectives qui poussent agts éco à s'engager sur des projets d'avenir ou pas, indpdment de ttes données objectives *modalités de financement il ne suffit pas décider d'investir, il faut aussi en avoir les moyens entreprise pr faire appel a financement externe (emprunt au augmentation capitale) ou puiser ds ses ressources : auto-financement qui exige des profits ant mais ne fait peser aucune contrainte de remboursements financement par emprunt fragilise entreprise en augmentant son endettement et la soumet 5 à l'influence du tx d'intérêt financement par augmentation du capital (arrivée de nouveaux proprio)pt remettre en cause le pvr du management au cours des dernières décennies, financement des investissements s'est profondément modifié : ds courant des années 70, le partage de la valeur ajoutée, plus favorable aux salariés à contribuer à diminuer part de profit des entreprises qui ont eu massivement recours à l'emprunt ; les années 80 ont connue phénomène inverse : remontée de la part des profits a permis aux entreprises d'auto-financer plus largement leurs investissements (valeur ajoutée moins répartie sous forme de salaire), on est arrivé au déb des années 90 jusqu'en 98 à une situation paradoxale puisque le tx d'auto-financement était largement sup à 100% : entreprises dégageaient plus d'épargne qu'elles ne réalisaient d'investissement, elles étaient devenues des agts à capacité de financement (sinon besoin de financement) agts éco ont été répartis en grp par activité ppale : ménages (conso), entreprises (produire biens et services marchands), adm° (services non-marchands, gratuit ou moins chère que faculté de production) ménages dégagent globalement une capacité de financement ; adm° : dep 1975, dégage un besoin de financement ; entreprises : traditionnellement : besoin d'investissements (plus d'investissement que de crédit emprunt), mais années 90 globalement dégageaient capacités de financement (car plutot que de dvp production, dt investissement ds recherche, ont préféré investir ds autres entreprises), auj + besoin de financement si entreprises n'ont pas investi ds années 90, c'est parce que débouchés paraissaient insuff et qu'elles trouvaient + profitable de faire placements monétaires plutt que d'investir ds élargissement ds leur capital productif. [...]
[...] ont contrecarré cette proportion naturelle, et de ce fait proportion à consommer est restant pdt longue période cst *le revenu relatif : Duesenberry conso de décision de court terme n'est pas seulement déterminé par revenu actuel mais aussi par le revenu ant, elle ne dpd pas comme l'affirmait Keynes et Smithies, du niveau absolu de revenu actuel mais de sa décision relative par rapport aux revenus perçus ds le passé. Pr lui, les vieilles habitudes de conso ne pvt être modif qu'à lg terme effet de cliquet si pr une raison ou une autre, revenu augmente ou diminue, vt garder leur habitude de conso pdt un cert tps *le revenu permanent :Friedman fonction de conso de longue période est celle qui est significative pr le consommateur, alors que celle de courte période n'est qu'une illusion statistique considère que consommateur a un horizon temporel qui dépasse la période, il cherche à maximiser sa satisfaction sur l'ens des périodes formant son horizon conso pas déterminée par le niv de revenus enregistré de la phase actuelle, mais plutot par le revenu moyen anticipé pr un cert laps de tps revenu permanent, normalement se distingue du revenu observé pr la décision de conso la base de revenu est constitué uniquement par le revenu permanent et non plus par revenu observable revenu permanent : abstrait, mais c'est sur lui que va se baser le consommateur conso : réflexion à lg terme considère raisonnement de Keynes faux pas de Co (part de consommation indpdte des revenus), pas poss à lg terme de conso ss revenus pr lui conso = part du revenu permanent (C=aYp) cas particulier : revenu observé = revenu qu'on croyait percevoir pas de polémique ac Keynes si revenu diminue par rapport au revenu initial, d'apr Keynes, conso s'adapte à situation, va consommer quantité C1 pr Friedman : consommateur se réfère au revenu qu'il pensait percevoir (revenu permanent) et non celui qui reçoit ; même raisonnement qd il y augmentation du revenu pr lui, il y a une différence ponctuelle entre le revenu obs et revenu permanent, mais ne tient pas compte de cette différence ds sa conso revenu transitoire valable que si sur un cert laps de tps revenu permanent = revenu obs (pas trop d'erreurs) E ne doit pas intervenir CCL : une difficulté théo de revenu permanent est que cette grandeur ne pt pas être obs elle dpd des revenus futurs qu'anticipent les agents. [...]
[...] Pr financer leur déficit, elle ft appel au marché financiers en émettant des titres acheté par ménages, qui sur l'observation des faits depuis + de 100ans, ont une ttale confiance ds E débiteur (en Frce) recours de l'E au financement par emprunt pt provoquer effet d'éviction qui pénalise les autres agents : qd l'E emprunte, retire du marché la somme qu'il emprunte entraîne hausse du tx d'intérêt à lg terme, dépenses publique contrainte par recette publique car adm° versent des intérêts sur les montants empruntés, accroissement de la dette augmente la charge des intérêts ds l'ens des dépenses, réduisant la part destinées aux investissements productifs depuis 75 : pas d'années où E n'a pas emprunté augmentation de la dette et dc des intérêts de la dette (en 1980 : recettes fiscales utilisées pr payer intérêts de la dette, auj, quasi face à croiss de la dette publique, l'intervention de l'E semble voir auj ses marges de manoeuvre se réduire; la construction européenne et la mise en place de l'euro ont contribué à lim encore un peu + . En effet les critères de convergence et de pacte de stabilité de croiss imposent rgl très strictes en matière de discipline budgétaire pdt lgtps, E intervenu de façon massive ds éco : rôle multiple E producetur, protecteur, régulateur. Prgressivment, à partir des années 70, action des pvr publics à connu un net recul et s'est transfo : la Pq éco donne la primeauté à la stablilité des prix par rapport à la recherche du plein-emploi. [...]
[...] conso intermédiaire : ne concerne que les entreprises, bien et services utilisés par entreprises pr élaborer produits et vt disparaître ds le processus de fabrication (ne pourront pas être réutilisé) PIB : censé définir richesse produite par pays somme des valeurs ajoutés ce qui est produit final pr certains et produit intermédiaire pr d'autre excèdent brut d'exploitation (EBE) qd partage de la valeur ajouté et profit se fait en faveur des entreprises (vrai en Frce depuis entreprises accroissent dépenses d'investissement , mais question des débouchés risque de se poser. Une diminution de la part des salaires pt provoquer des tensions sur la demande une des contradictions de l'investissement. Ces 2ppaux déterminants pvt alors s'opposer *situation financière acte d'investissement n'est rentable que si la valeur de la production réalisée par le nvl équipement dépasse le coût d'acquisition et les autres frais attachés. [...]
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