Financement de l'économie, rôle de la monnaie, monnaie dans l'économie, inflation, déflation, création monétaire, banque centrale, transaction, courtage, financement, Friedman, Baumal, Keynes
La monnaie est à la base du financement de l'économie. Elle a évolué au cours de l'Histoire et n'a pas eu la même forme pour répondre au besoin du financement de l'économie.
Selon les néoclassiques, la monnaie est une marchandise qui doit répondre aux critères de l'inaltérabilité (la monnaie peut s'abîmer), de la divisibilité et de la rareté. Seulement une marchandise peut répondre à tous ces critères : les métaux précieux. L'or va donc s'imposer avec une valeur intrinsèque, c'est-à-dire que l'objet porte sa valeur (ce qui va changer au court du temps par la dématérialisation et l'utilisation de métaux - précieux).
[...] Le financement de l'économie La monnaie est à la base du financement de l'économie. Elle a évolué au cours de l'Histoire et n'a pas eu la même forme pour répondre au besoin du financement de l'économie. Selon les néoclassiques, la monnaie est une marchandise qui doit répondre aux critères de l'inaltérabilité (la monnaie peut s'abîmer), de la divisibilité et de la rareté. Seulement une marchandise peut répondre à tous ces critères : les métaux précieux. L'or va donc s'imposer avec une valeur intrinsèque, c'est-à-dire que l'objet porte sa valeur (ce qui va changer au court du temps par la dématérialisation et l'utilisation de métaux - précieux). [...]
[...] Demande de monnaie chez les classiques et néo-classiques Pr eux, les agents demandent de la monnaie que pour effectuer des transactions. Pour Muns, la monnaie est un “voile”, comme une unité qui recouvre la réalité des échanges. On passe alors de la sphère réelle → sphère monétaire en multipliant le prix (idée de neutralité de la monnaie). Pour Ricardo, (1817) Des principes de l'économie politique et de l'impôt “Le numéraire n'est que l'argent au moyen duquel l'échange s'effectue” Pour Say, avec la loi des débouchés → ne peut avoir de crise générale de surproduction Pour Walras, “Le besoin qu'on a de la monnaie n'est autre que le besoin de marchandises que l'on achètera avec cette monnaie” - La monnaie → marchandise qui n'a ps de valeur pour elle-même → étalon de mesure - théorie de l'éq générale : éq simultané de l'ensemble des marchés (CPP) Pour Marshall, dans cet optique on va formaliser la D de monnaie par une “équation” → “équation de Cambridge” Pour lui, plus le revenu réel aug plus il va falloir de monnaie pour assurer échanges. [...]
[...] L'intérêt de la monnaie est donc que les agents économiques vont échanger leur produit contre la monnaie = diversification de l'usage de la monnaie en fonction des besoins. La monnaie permet donc, en théorie, d'étendre les échanges à l'infini et les ramifier. instrument de reserves de valeurs L'individu n'est pas dans l'obligation d'utiliser immédiatement la monnaie, il peut la conserver en vue d'une utilisation ultérieur = épargne (thésaurisation) ou spéculation (dans l'attente d'opportunités d'enrichissement). Mais la monnaie ne doit pas perdre de sa valeur, par l'inflation par exemple, sinon elle ne remplit plus sa fonction de réserve de valeurs = fuite devant la monnaie Venezuela où les habitants font des stocks de marchandises car la monnaie perd de sa valeur très vite). [...]
[...] Donc, l'augmentation de la masse monétaire aura que des effet sur les variables réelles de l'économie (la prod° et l'emploi). La politique monétaire est un instrument de politique économique car elle va avoir de l'influence sur l'économie réelle. La courbe de Phillips : Elle est décroissante et convexe (relat° inverse) Les éco keynésiens vont la reprendre pour montrer l'effet d'une politique de relance en considérant qu'il y a un lien la variat° du tx de salaire & la variat° du prix. [...]
[...] Analyse monétariste de Friedman Il part l'hypothèse que l'O de monnaie est déterminée par la banque centrale. AD que l'O monétaire est exogène cad que par rapport aux mécanismes étudiés la variable est indépendante, elle a des explicat° extérieures. Il va alors élaborer un concept : les anticipations adaptatives, cad que les agents ont des anticipations qui suivraient un processus d'erreur et de correction de ses erreurs. AD avec ses anticipat° les agents ne seraient pas éternellement trompés par la politiq de relance monétaire puisq la théorie quantitative de la monnaie Pour Friedman une politique monétaire expensive peut éventuellement : - Dans un 1er temps avoir un certain effet l'éco réelle et cet effet consiste à relancer l'acté et avoir un effet l'emploi mais à long terme. [...]
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