macroéconomie, politique monétaire, microéconomie, holisme méthodologique, cycle du porc, Raniard Fresht, Karl Marx, John Meynard Keynes, crise économique, crise des subprimes, traité de Maastricht
La macroéconomie, ou la branche de l'économie opposant la microéconomie, a été développée par un économiste norvégien nommé Raniard Fresht, qui a reçu le prix Nobel en 1933. Cette opposition remonte à 1933, même si l'approche macroéconomique n'est pas apparue à cette date : elle date en réalité du début de l'économie politique moderne. Il y a eu des analyses mercantilistes, des physiocrates, des classiques, celles de Marx ainsi que l'analyse de Keynes. Ce sont toutes des analyses macroéconomiques, ou analyses globales. Elles sont très différentes les unes des autres, mais elles ont la même approche.
[...] On constates un chômage en très forte hausse, une accélération du fait de l'inflation. Si le revenu n'augmente pas en même temps que l'inflation = perte du pouvoir d'achat. Perte du pouvoir d'achat = baisse de la consommation = baisse de l'économie. Il y a eu aussi à cette époque-là une hausse du déficit budgétaire. Depuis de nombreuses années, les recettes sont inférieurs aux dépenses et cela crée un déficit public. On cherche à financer cette dette public en s'endettant dans les marchés monétaire et boursiers. [...]
[...] État et économie - Introduction à l'économie générale Microéconomie = s'intéresser au fonctionnement de l'économie par l'analyse des comportements individuel (consommateur + producteur). La microéconomie tache d'expliquer les comportements individuel. Individualisme = méthode permettant permet d'expliquer des phénomène en partant des comportements individuel. La micro éco passe du principe que tout les agents sont parfaitement rationnel et indépendant les uns des autres. Au second semestre on va s'intéresser à l'approche macroéconomique. Elle s'explique à partir du comportement général, global. Cette approche microéconomique est rejeté par les partisans de la macroéconomique. [...]
[...] Il y a des rapports étroits entre la macroéconomie et l'économie monétaire. La monnaie est appréhendée au niveau des fonctions globales reliant les agrégats. Par exemple, la fonction de consommation explique l'évolution de la consommation globale des ménages à l'aide d'un certain nombre de variables. C = Co + cy Avec C = consommation Co = Consommation incompressible cy = propension marginale à consommer Y = revenu Co et y sont exprimés en valeur monétaire. ● Plus mon revenu est élevé, plus la propension marginale à consommer est faible. [...]
[...] Il y a des théorie économique contredit par d'autres travaux. Il y a Lucas qui est un économiste libéral qui a fait un dilemme sur la relation entre le chômage et l'inflation. En macroéconomique on s'intéresse sur l'intervention de l'Etat. Le bon choix de l'intervention semble crucial, important car cela peut aider un pays. Cela peut aider le monde à sortir d'une récession. Cela peut aider des économie à accroitre une activité en accroissant les activités. Une politique économique que l'on peut qualifier de bonne peut stimuler l'investissement. [...]
[...] Le cycle du porc illustre bien que la rationalité individuelle peut conduire à l'irrationalité collective. Autre exemple, les cas des entreprises : Si toute les entreprise, au niveau de l'économie française, une réduction des salaires est opérés. Que va-t-il se passer ? Tous les ménages auront une perte de leur pouvoir d'achat. Si les consommateurs ont une perte de pouvoir d'achat, il diminueront leur consommation. Si on consomme moins, on achète moins et si on achète moins, il y a une baisse de la production. [...]
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