Établissements de crédit en France, caractéristiques et évolutions, taux d'usure, croissance, crédit bancaire, taux d'endettement, secteur mutualiste et coopératif, système bancaire
Il existe trois axes de restructuration venant du secteur mutualiste et coopératif, tout d'abord les groupes coopératifs et mutualistes avec une réduction du nombre de caisses régionales : fusion entre les entités affiliées, génération d'économies d'échelle, formation de la direction, équipes commerciales, baisse des coûts, tarifs et prix de vente...
[...] Sociétés de fint : 11% octroi DAV 4. Instituts fint spécialisés : octroi 0,02% DAV ← Nombre d'agences/guichets Hausse dans les 90's et 2000's : Création d'agences très importante en France. Stratégie active d'implantation : participe de l'économie d'échelle Hausse des ventes = Hausse de la production. Aujourd'hui, baisse du nombre d'agences physiques Stratégie de centralisation (agences plus grosses, agences vitrines = Refonte de la relation clientèle (cf plateformes) Cl : le secteur bancaire est certes plus concentré mais tout autant concurrentiel Crédit bancaire : un produit toujours en hausse, même pendant la crise Ménages : la situation d'endettement effraie les ménages français selon les études menées. [...]
[...] Taux d'usure (seuil au-dessus duquel un prêt n'est pas accordé) est vu en France comme un moyen de protection du consommateur, mais au UK comme un frein à l'activité bancaire. Certains pays européens comptent trop d'EC. FR : économies d'échelle/processus de rationalisation. Loi 84 : 5 catégories distinctes (cf 1 La structure du secteur bancaire en 2016) EC = . Structure homogène dont la fonction est la transformation . Pas de différence dans l'étendue des agréments . Collecte des dépôts (2013) 1. [...]
[...] Caisses de crédit municipal (ex : Rue du Mirail Bordeaux) = Etablissements publics communaux de crédit et d'aides sociales. Monopôle quant au prêt sur gage Peuvent recevoir des conditions réduites : réception de dépôts et octroi de crédits : 18 Transformation réduite, établissements particuliers Sociétés financières (jusqu'en 2013) (ex : Cetelem, Cofinoga) 2013 : 247 Habilités à recevoir des fonds du public sous la forme de TCN (Titres de Créances Négociables) Mais aucune collecte de dépôts : • A – de 2 ans de terme • A vue = très limitée, étendue réduite à l'agrément = transformation réduite Institutions financières spécialisées 2013 : 3 missions d'intérêt public, ne peuvent recevoir des dépôts publics qu'à plus de 2 ans de terme Ex : Agence française de développement en faveur des PVD (Pays en Voie de Dvlpt). [...]
[...] • Rendement relatif (taux d'intérêt) • Contexte financier d'incertitude : crise, chômage, récession . ) = préférence pour la liquidité (cf Keynes) • Offre des banques : o Démonopolisation du Livret A (à l'origine distribué par LBP) o Hausse du plafond du Livret A et LDD qui rassure psychologiquement • Les ménages n'aiment pas la détention directe de titres, d'où préférence ass vie et OPCVM mais liquidité réduite dans les 8 premières années. • Donc les DAV sont de bons moyens d'épargne de précaution, même si moins rentables : o Mobilisation rapide des fonds, o Autonomie du client pour ses mouvements. [...]
[...] (cf Graphiques L. QUIGNON) L'épargne, une ressource diversifiée pour les banques, réglementée, à évolution mitigée . Historiquement, la FR a un taux d'épargne autour de 15% (en fonction du RDB = Revenu Dispo Brut) Le chômage en est la cause majeure : augmentation plus estompée du RDB qu'auparavant. Le taux est tout de même important : Italie : Conservation des +de12% pendant longtemps, ajd 10% Es : - All : - 16% UK : - Zone Euro : - environ 12% Union Européenne : - environ 13-15% Répartition de l'épargne (Cf Tableau BdF). [...]
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