« Une entreprise est une unité économique qui combine des facteurs de production pour produire des biens ou des services destinés à être vendus sur le marché. »
C'est une unité de production entourée de différents marchés dont le marché du travail sur lequel l'entreprise acquiert le facteur travail. L'hypothèse d'atomicité au niveau de l'offre fait qu'elle peut supporter une infinie divisibilité du facteur.
Afin de produire des biens et des services, elle doit combiner les facteurs de production : capital et hommes en choisissant entre différentes variables d'actions pour atteindre sa valeur optimale.
Son management permet de perfectionner les méthodes de travail, d'améliorer le rendement de la société et donc d'augmenter son chiffre d'affaires.
Un entrepreneur rigoureux dans le fonctionnement d'une entreprise laisse une place importante au management dans sa firme.
[...] Le système productif d'une entreprise a donc un niveau physique, domaine de la productivité, un niveau financier, domaine de la rentabilité et enfin un niveau marchand, domaine de l'emploi, de la fidélisation de la clientèle et de la croissance. III Son développement et sa croissance Pourquoi et comment l'entreprise croît-elle ? L'entreprise croît tant que son fonctionnement interne est moins coûteux que celui des marchés. La frontière de l'entreprise serait la frontière entre le coût de fonctionnement interne et le coût du marché. L'environnement d'une entreprise évolue en permanence et sa condition de survie à long terme se doit de s'y adapter. [...]
[...] Qu'est-ce que l'entreprise? Introduction Une entreprise est une unité économique qui combine des facteurs de production pour produire des biens ou des services destinés à être vendus sur le marché. C'est une unité de production entourée de différents marchés dont le marché du travail sur lequel l'entreprise acquiert le facteur travail. L'hypothèse d'atomicité au niveau de l'offre fait qu'elle peut supporter une infinie divisibilité du facteur. Afin de produire des biens et des services, elle doit combiner les facteurs de production : capital et hommes en choisissant entre différentes variables d'actions pour atteindre sa valeur optimale. [...]
[...] C'est pourquoi, dans un contexte de CPP, les firmes peuvent se défendre et se protéger des velléités d'entrée de toute autre firme potentielle à travers des dispositions juridiques (brevets, licences soumises à des conditions strictes), des avantages coûts (baisser ses prix à un niveau insupportable pour le nouvel entrant), une forte différenciation ( attachement de sa clientèle), des innovations technologiques majeures (afin de clouer le nouvel entrant au moment du lancement de sa commercialisation). Par exemple, Microsoft a essuyé une nouvelle plainte à la Commission européenne de Bruxelles sur son manque d'interopérabilité d'Office ce qui constituerait une barrière à l'entrée du marché afin de limiter la montée en puissance de concurrents d'Office. D'autre part, au niveau macro-économique, les différentes concentrations (horizontales, verticales ou conglomérales) permettent de même aux entreprises de faire face à la concurrence. La stratégie d'entreprise est donc une allocation optimum des ressources lui permettant de s'engager dans une rentabilité durable. [...]
[...] Selon Marx et Schumpeter, la firme est le lieu de la création, de l'innovation et de l'action de l'entrepreneur. Enfin Chandler, économiste américain du début du siècle dernier, voit deux raisons majeures à l'apparition de la firme moderne qui sont l'importance du marché américain à la fin du 19e siècle et les innovations technologiques apparues durant la seconde révolution industrielle (nouvelles machines). En effet, selon lui, ces deux bouleversements offriraient aux entrepreneurs américains plus d'opportunités pour exploiter les économies d'échelle et plus de moyens de diversification que dans un autre pays. [...]
[...] En effet, il suppose que dans tout échange il y a négociation sur le prix, ce coût est donc selon lui une perte de temps. Le second type de couts est le cout de négociation sur les caractéristiques précises du service en travail échangé voire du produit échangé. Enfin le troisième type de coût est le coût de rédaction du contrat où sont spécifiés le prix, et les caractéristiques précises du service échangé. Ces couts sur le long terme peuvent être énormes si les échangistes entretiennent des rapports fréquents ce qui accumulerait des couts de transaction. [...]
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