Elle est fonction d'un arbitrage entre travail et loisir. Le travailleur compare l'utilité du travail (le salaire) et le sacrifice du loisir (désutilité du travail).
Il résonne sur la quantité de biens qu'il peut acquérir grâce au travail.
W (taux de salaire réel) = w (taux de salaire nominal) / P (indice de prix)
Si le taux de salaire nominal augmente de 10% alors W n'a pas augmenté.
Bilan : L'offre de travail dépend du salaire réel (...)
[...] Formulation de Fischer : M = PT / V MV = PT Formulation de Marshall et Pigou : soit T = et k = 1/V alors M = kPY Ce sont deux formulations de la théorie quantitative de la monnaie : il faut que la quantité de monnaie soit proportionnelle au volume des transactions. P (niveau des prix) est la variable qui réalise l'équilibre sur le marché de la monnaie. La monnaie n'a aucun effet sur Y. La monnaie n'a aucun effet sur les prix relatifs. La monnaie a un effet sur le niveau général des prix. [...]
[...] La politique monétaire A. Les effets d'une politique monétaire expansionniste Soit un accroissement de masse monétaire : M1 > M , cela entraine P1 > Pe et w1 > we l'accroissement de l'offre monétaire n'entraine aucune modification des variables réelles (niveau d'emploi, de production) mais une modification des variables nominales. trop de monnaie entraine un risque d'inflation. B. politique monétaire restrictive Sur le graphique : Si M2 [...]
[...] Le marché des biens et services : épargne et investissements 1. La fonction d'épargne L'épargnant compare : le cout de l'épargne (effort qu'il s'impose pour différer sa consommation et donc la satisfaction de cette consommation) et l'avantage retiré de l'épargne, c'est-à-dire l'intérêt qu'il exige pour compenser le sacrifice de la consommation. Le taux d'intérêt représente le prix de la renonciation à la consommation. L'individu exige un taux d'intérêt plus élevé pour épargner davantage. S = S'(i) > 0 Pour que l'individu épargne davantage, il faut que le taux d'intérêt augmente également. [...]
[...] La norme de l'équilibre classique est la suivante : Maintenir l'équilibre budgétaire. En cas de budget déséquilibré, un déficit par exemple n'aura pas d'influence sur le niveau de l'emploi. A. Déficit budgétaire et effet d'éviction Soit un déficit budgétaire : Il n'y a pas de modification du niveau d'emploi et de la production. B. Le principe d'équivalence de Ricardo Ricardo estime qu'en cas de déficit budgétaire, les contribuables réagiront à une hausse du déficit suite à une baisse d'impôts, non pas par une augmentation de la consommation mais par une augmentation de l'épargne. [...]
[...] Que se passe-t-il en cas de déséquilibre sur ce marché ? A. Déséquilibres sur le marché du travail A : 0W1 0N1 : niveau d'équilibre de l'emploi : plein emploi, pas de chômage involontaire Soit une augmentation de l'offre de travail : N(O)2 > N(O)1 concurrence pure et parfaite : flexibilité des prix et salaires. 0W2 0N1: situation d'équilibre, plein emploi dysfonctionnement sur le marché du travail : rigidité du salaire réel : W = W1 [...]
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