épistémologie, approche néoclassique, approche autrichienne, validité du savoir, Renés Descartes, Hobbe
Le premier niveau, la cosmologie venant de « cosmos » (le monde) et « logos » (discours), c'est le discours sur le monde, la vision sur le monde. Ce sont les postulats, les hypothèses, les préjugés, la philosophie première à partir de laquelle on va élaborer son discours.
La cosmologie est le point de vue de chacun sur le monde, ce n'est pas discutable. Par exemple, la croyance religieuse. Les croyants auront une vision du monde différents des athées.
Tout ce que l'on va produire comme connaissance va dépendre de nos hypothèses de départ.
La cosmologie, nous permet de définir le définissable.
[...] Dans les années 80, les politiques Hayekiennes semblent les plus efficace. C'est ce que pense Reagan. La libéralisation s'avère plus efficace que l'interventionalisme sociale-démocrate. Autre critère épistémologique, le critère du réalisme abandonné par les néoclassiques. Les Hayekiens n'ont pas renoncés à ce critère. La théorie ne se contente pas de prédire, elle rend compte de la réalité (notamment des processus causaux). Leur théorie rend compte réalistement les processus causaux à l'œuvre de l'activité économique Méthodologie Les hayekiens n'adoptent pas le constructivisme, la simulation numérique. Il faut procédé par l'analyse résonné. [...]
[...] Il faut que la proposition analytique soit testable, que l'on puisse prouver qu'elle a un contenu synthétique. Le passage à l'analytique est le modèle économique, le passage au synthétique est l'économétrie. On cherche à faire une physique sociale entrainant les 3 conséquences, le monisme, le nomothétique l'approche positive/neutre. La démarche de connaissance de ces 2 grands éléments de la cosmologie et Gnoséologie La Gnoséologie est le mode de la production de la connaissance. On va voir la démarche de construction théorique. [...]
[...] Arrive année 1980, la fille d'un épicier conservateur arrive au pouvoir, Thatcher qui a comme livre de chevet Hayek. C'est la révolution ultra-libérale des années 80 qui emportera même la Chine. Cette révolution a comme grand penseur Hayek. L'empire soviétique implose, la chine rejoint l'économie de marché. Les pays ex-soviétiques deviendront des disciples de Hayek. C'est le triomphe de Hayek jusqu'en Cosmologie Hayek tenant de l'économie de marché. Il nous dit que l'économie de marché conduit à un ordre spontané. [...]
[...] Pourquoi cette variété ? Alors que la logique marxienne/l'analyse historique voudrait qu'il y est unicité. On s'est aperçu que le capitalisme pouvait se développer dans une dictature avec Pinochet et dans la bureaucratie avec la chine, mais aussi dans des démocraties parlementaires, régimes semidémocratique comme la Corée. En Chine, la direction politique est officiellement marxiste alors qu'elle applique le capitaliste au nom de l'amélioration des conditions de vie des chinois. Normalement le capitalisme est condamné à disparaître alors que depuis 2 siècles, on pensait que le capitalisme était sur son déclin, fin des années 80 le capitalisme reprend de la vigueur. [...]
[...] Fin du 18eme la pensée occidentale est tourmenté par la révolution française. La notion de lutte de classe est relativement courante au début du 18eme siècle. Les libéraux politiques vont essayer de vendre l'idée que la société d'économie de marché capitaliste est une société qui a la capacité de finir la lutte des classes. Guizot, dans les années 1820 nous dit qu'en France il faut terminer la révolution française, stopper la lutte des classes, il propose qu'il faut que se constitue une classe moyenne qui fasse disparaître cette distinction dominant/dominé. [...]
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