Environnement économique, économie, gestion financière, politique économique, nicolas Sarkozy, FMI, FESF
Son objectif ultime était de rétablir l'équilibre des finances publiques
L'augmentation de l'offre de biens relève d'une thèse libérale. Si on produit plus, les consommateurs vont acheter plus.
Mais comment s'y prendre :
- Réduction de la pression fiscale et parafiscale. Il ne faut pas que les entreprises jugent l'augmentation de production non rentable. Pour cela on réduit la pression fiscale et parafiscale. Mais parallèlement il faut annoncer une réduction des dépenses publiques
- Augmentation des heures supplémentaires (travailler plus pour gagner plus). Il faut être sur que la stimulation de demande ne s'échappe pas a l'extérieur.
On essaie alors de se protéger des importations :
o soit en favorisant les produits français mais encore faut il que le marché existe
o Soit en taxant les produits étrangers mais ce n'est pas possible car c'est dangereux
o Faire du protectionnisme déguisé (roquefort aux Etats Unis, différences de prises électriques, magnétoscopes)
o En favorisant les produits qui ne peuvent être importés :
Services à la personne (cette idée colle bien avec le vieillissement de la consommation). Mais cela pose un problème de financement : soit on augmente la finance publique mais c'est incohérent avec la réforme, soit on laisse faire le marché et seuls les gens qui peuvent se payer un service se paieront ce service)
L'accès à la propriété
• Main d'œuvre française
• Matériaux français
Pour favoriser cela on favorise la fiscalité
Pour l'accès a l'immobilier il faut que les banques suivent pour accorder des crédits bancaires. Mais on n'a jamais su si les banques auraient suivi puisqu'il y a eu la crise des subprimes.
Derrière ça il y avait 2 modèles : le modèle américain et le modèle espagnol
[...] Mais comment s'y prendre : - Réduction de la pression fiscale et parafiscale. Il ne faut pas que les entreprises jugent l'augmentation de production non rentable. Pour cela on réduit la pression fiscale et parafiscale. Mais parallèlement il faut annoncer une réduction des dépenses publiques - Augmentation des heures supplémentaires (travailler plus pour gagner plus). Il faut être sur que la stimulation de demande ne s'échappe pas a l'extérieur. On essaie alors de se protéger des importations : o soit en favorisant les produits français mais encore faut il que le marché existe o Soit en taxant les produits étrangers mais ce n'est pas possible car c'est dangereux o Faire du protectionnisme déguisé (roquefort aux Etats Unis, différences de prises électriques, magnétoscopes) o En favorisant les produits qui ne peuvent être importés : Services à la personne (cette idée colle bien avec le vieillissement de la consommation). [...]
[...] Mais on n'a jamais su si les banques auraient suivi puisqu'il y a eu la crise des subprimes. Derrière ça il y avait 2 modèles : le modèle américain et le modèle espagnol Il faut quand même préciser que les importations existeront toujours, donc il faut compenser en prévoyant une croissance des exportations Mais les exportations dépendent de la demande de 2 paramètres qui nous sont extérieurs : - la conjoncture internationale. - le taux de change : Il est difficile d'exporter lorsque le taux de change est surélevé. [...]
[...] La relance exacerbe le chômage structurel. - Rééquilibrage de la dette publique : pour se conformer aux critère de Maastrich. La France connaît un déficit budgétaire structurel. Il s'agit du solde budgétaire calculé si l'économie fonctionnait en situation de plein emploi. [...]
[...] - l'économie souterraine en France - l'économie souterraine en Italie du PIB échappe a la fiscalité nationale) - l'impact économique des 35 heures en France - la réforme de la politique agricole commune - l'analyse économique de la beauté thèmes abordés : - la politique budgétaire et les questions liées a la possibilité de réduire les déficits. Faut-il réduire le ratio d'endettement ? - la diversité des formes d'économies de marché. - La reconstruction d'un système monétaire international - La compétitivité internationale de la France La politique économique de Nicolas Sarkozy en 2007 Son objectif ultime était de rétablir l'équilibre des finances publiques L'augmentation de l'offre de biens relève d'une thèse libérale. Si on produit plus, les consommateurs vont acheter plus. [...]
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