Empire : organisation entre plusieurs nations, militaire mais avant tout commerciale. En théorie, en libre échange, tout le monde a le même rang et aucun pays ne domine un autre. C'est une économie qui s'est d'abord affirmée sur le plan commercial. Une économie est une forme de communauté politique organisée autour d'un pouvoir puissant. Empire romain : basé sur la terre. La création d'un empire implique une ou plusieurs conquêtes militaires.
République romaine : La République Romaine commence en 509 avant Jésus Christ, à la chute de la Monarchie. C'est la période où Rome n'était pas détenue par un seul homme mais où les citoyens étaient leurs magistrats, que le Sénat romain contrôlait. Cette période s'étend entre la fin du VIème siècle et le Ier siècle avant JC (...)
[...] Il n'y a plus de pouvoir central. Dans cette Europe les villes n'existent quasiment plus, car il n'y a plus de surplus agricole. Cette organisation atteint son maximum vers le Xème siècle (entre 900 et 1000). Il faut aussi ajouter que jusqu'au VIIIème siècle, on trouve encore beaucoup de paysans libres, non esclaves, et qui ont un lopin de terre. Ils sont soumis au seigneur, doivent payer des redevances au seigneur, doivent des corvées (=force de et ont de de mal à survivre, soumis à une forte insécurité et vont souvent s'en remettre à leur seigneur donner en gage à leurs propriétaires (=seigneur) en échange de sa protection, et vont perdre leur liberté). [...]
[...] Du côté Oriental, l'économie se porte mieux. Causes de ce déclin : On peut considérer que la raréfaction de la main d'œuvre est un élément important. On peut aussi citer l'épuisement des sols, que l'on a trop exploité. On peut aussi penser que l'instabilité politique (guerre civile) a été un facteur qui a ralenti le commerce. De même, la fiscalité Romaine a peut-être trop pesé sur les classes moyennes (il fallait financer les reconstruction d'invasions, de barbares etc. ) et pas assez sur les riches, ce qui a favorisé la minorité riche et l'apparition de classes pauvres. [...]
[...] _Rome prélève des impôts sur les régions colonisées et notamment sur les romains sur les héritages sur chaque vente de la vente d'un esclave de droit de douane, routes à péage .). Ce sont plutôt des impôts sur l'activité commerciale. Ces impôts servent à entretenir l'armée des dépenses de l'Etat sont consacrées à l'armée (contre 15% aujourd'hui)) sont consacrés aux services municipaux, qui servent à entretenir les villes sont consacrés à l'entretient des pauvres (repas gratuits ) sont consacrés au divertissement de la population. Dans cette société, le citoyen Romain ne travaille pas. Ce sont les esclaves qui travaillent et qui exécutent la plupart des tâches à sa place. [...]
[...] Du côté de la production, on suit les tendances de la République romaine. La culture de céréales, continue à s'amoindrir en Italie. On préfère cultiver des choses qui rapportent plus d'argent mais qui ne sont pas forcément d'un besoin immédiat. L'Italie doit donc importer en quantité très importante. Ex : Aujourd'hui il nous est plus simple d'importer de Chine, que de fabriquer nous-mêmes des téléviseurs etc En revanche, les romains vont développer la culture du vin, surtout en Gaulle, comme un en Bourgogne. [...]
[...] Ex : Aujourd'hui, c'est le cas de l'Amérique. Normalement, en matière de commerce international, on ne peut importer des produits que si on a réussi à vendre tout autant nos produits à l'exportation, afin d'avoir de la liquidité. Ce n'est pas le cas de Rome. Ce sont les conquêtes militaires qui permettent de ramener un butin, pour payer les importations des pays qui ont été conquis. Les Romains accumulent donc les conquêtes et payent les importations grâce au pillage. Par ce fait, ce n'est pas vraiment du commerce pur mais plutôt une sorte de vol. [...]
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