Pour situer une société il y a 3 niveaux :
1- L'état concret : complexité de ce que l'on perçoit, analyse imposée par l'expertise, fait partie du domaine des sciences humaines.
2- L'état concret abstrait : étude des relations entre les variables, avantage comparatif des économistes s'appuie sur des statistiques.
3- L'état abstrait : niveau ou l'on saisit l'interaction entre les variables, l'information détachée de l'expérience immédiate, c'est une simplification.
Toute science est une construction, son objet c'est d'expliquer la réalité en formulant des théories vraies ou qui se rapproche de la vérité. Les objets sont des constructions intellectuelles (...)
[...] les barrières non tarifaires Les pays ont eu recours à différentes techniques de substitution : - les contingents ou quottas : visent à limiter la quantité produit importé. Ces barrières quantitatives sont en principe interdites mais dans les faits elles sont tolérées dans certains secteurs sensibles comme agriculture ou textiles. Un contingent garanti que les quantités importées seront limitées même dans le cas d'une baisse des prix de la part des producteurs étrangers. Si les exportateurs étrangers réduisent leur prix au prorata du droit de douane en place, cela ne change pas l'importation. [...]
[...] C'est mettre à jour les structures de la mondialisation contemporaine pour répondre à cette question. Les US, EU et japon réalisent à eux seuls 65% des exportations mondiales en ajoutant Chine et pays émergents on atteint 80%. Le commerce international est une affaire de pays riche. Il porte à 80% sur des produits industriels ou agricoles. Les 20% restant concernent les services. La réalité de l'emploi dans les pays industriels est rigoureusement l'inverse. Le commerce international porte sur la portion congrue de l'emploi. [...]
[...] Pour la zone Euro, pays satellite qui ont fait le choix : les 14 pays de l'ancienne zone franc concerne les pays d'Afrique coloniale par un taux de change fixe, Danemark, et 6 autres pays de l'UE qui ne font pas encore partie de l'euro. B. Les interventions sur le marché d'échange Les offres et demande d'une monnaie se confronte sur le marché d'échange. Les banques centrales peuvent intervenir sur ce marché. - le taux d'intérêt : les différence de taux d'un pays a l'autre joue un rôle fondamental dans l'échange de capitaux. Ces capitaux ont tendance a se placer sur les place financières ou il sont les mieux rémunéré. C'est la variable déterminante des entrées et sortie de capitaux a court terme. [...]
[...] Les insuffisances sont reconnues de tous y compris des responsables du FMI et de la banque mondiale. L'économisme en chef de la banque mondiales Stieglitz qui la quitter en 1999, il dénonces les erreurs du FMI dans tous les domaines ou il est intervenu. Avantages aux termes de croissances aux termes d'investissement. Mal évaluer les effets pervers des effets mis en œuvre. La dévaluation favorise l'inflation. Possibilité même d'accroître leur revenu sur le moyen et long terme, c'est cette possibilité qui a été remis au cause par ces plan d'investissement conjoncturelle. [...]
[...] Les ménages ont plutôt capacité de financement contrairement aux entreprises. C Le circuit financier Plusieurs type d'investissement financier : -CODEVI : compte pour développement industriel. Agents qui a les capacités de financement = offre de prêt de fonds drainée par des institutions financières, l'offre sert à répondre à la demande de fonds aux agents qui ont besoin de financements : les entreprises en particulier. Entreprises proposent : titres de propriété, actions, titre d'emprunt rémunéré par des obligations, appel aux banques (crédit). [...]
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