économie politique, théorie du consommateur, loi de Gossen, notion d’élasticité, stratégies des firmes
Définition, 2 conceptions:
- Formelle mettant en relation les notions de biens et de moyens,
- Réelle insistant sur l'objet réel de la science économique (les actes économiques : production, consommation et échange).
La science des ressources rares : problème de l'homme, besoins illimités mais moyens limités.
2 types de besoins : des besoins biologiques et des besoins culturels ou de civilisations.
Pour répondre à ses besoins, l'homme utilise des biens, certains sont fournis spontanément par la nature.
[...] L'élasticité prix de l'offre : - Si e=0 l'offre est qualifiée de parfaitement rigide, c'est-à-dire que le niveau de l'offre est complétement insensible au prix - Si e=1 l'offre est à élasticité unitaire - Si e > 1 l'offre est élastique, c'est-à-dire que le niveau de l'offre est plus que proportionnel au mouvement du prix. L'EQUILIBRE DU MARCHE L'offre et la demande se rencontrent en un point appelé le point d'équilibre du marché. Lorsque la quantité demandée excède l'offre, il y a alors pénurie de marchandises, les acheteurs ne peuvent pas acheter tout ce qu'ils veulent au prix courant. Le prix va alors augmenter jusqu'à ce que la demande égalise l'offre. Lorsqu'il y a un surplus de production, les vendeurs sont incapables de vendre tout ce qu'ils ont au prix courant. [...]
[...] Le problème du consommateur est de maximiser son utilité sous contrainte budgétaire. Graphiquement, une combinaison maximisant cette utilité est nécessairement un point de tangence entre une courbe d'indifférence et la contrainte budgétaire. Ici la satisfaction maximale est atteinte au point C puisqu'il s'agit d'un panier de biens situé sur la courbe d'indifférence la plus élevée mais qui correspond également à un point de la droite de budget. Le consommateur n'a pas intérêt à se situer au point il n'y maximise pas son utilité, on suppose en effet qu'il n'épargne pas. [...]
[...] La théorie de la valeur : La valeur est un problème central de l'économie politique. La théorie de la valeur objective : Pour Smith, Ricardo et Marx la valeur de l'échange entre 2 biens réside dans les quantités de travail respectivement nécessaires à leur production. Théorie de la valeur-travail : elle n'existe que pour les objets reproductibles (marchandises) et l'existence d'une valeur d'usage est un préalable à l'existence d'une valeur d'échange. La théorie subjective de la valeur : le rapport d'échange entre 2 biens dépend du rapport de leurs valeurs d'usage. [...]
[...] La loi de King : Désigne le fait que, en raison de la rigidité de la demande de produits (agricoles) de première nécessité, une variation minime de l'offre de ces derniers est susceptible d'entraîner une variation très importante de leurs prix. La fonction des coûts : en pratique toute production occasionne des coûts non seulement au producteur mais aussi à la collectivité. On trouve donc le coût total qui se décompose en coûts fixes et coûts variables. Les coûts fixes sont des coûts indépendants du volume de production réalisé. Les coûts variables, comme leur nom l'indique, varient avec le volume de production. [...]
[...] Elle s'intéresse d'une part aux opérations essentielles que sont la production, la distribution et la consommation des biens, d'autre part aux institutions et activités ayant pour objet de faciliter ces opérations. La méthode en économie : il existe 3 méthodes pour définir des lois économiques - L'induction : observation des faits pour en retirer des lois dans a priori > on remonte des faits à la loi. Le problème de cette méthode est qu'elle est purement descriptive. - La déduction : on part de la théorie pour aller vers les faits - La méthode hypothético-déductive : hypothèses, définition des concepts utilisés, nouvelles propositions, confrontation des conclusions théoriques aux faits. [...]
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