Cours complet d'économie sur la politique monétaire et le rôle de la banque centrale en économie ouverte idéal pour des exposés, dossiers ou pour les révisions de partiels. Cours de macroéconomie réalisé en première année de Master 1 Economie et Gestion.
[...] Objectif d'équilibre de la Balance Commerciale : X=M 4. Objectif de non-inflation : il faut une inflation nulle Les auteurs intéressés par la politique monétaire privilégie ceux de la stabilité des prix et du taux de change et 4). Une fois indépendante, la BC ne peut plus vraiment maîtriser ces 2 objectifs de telle sorte que les BC se sont donnés des objectifs intermédiaires qui permettent, s'ils sont vérifiés, d'obtenir les objectifs finals Les objectifs intermédiaires : Ce sont des variables monétaires sur lesquelles les BC peuvent agir et en même temps, ces variables doivent avoir un effet d'annonce sur les décisions des agents du secteur privé. [...]
[...] Ceci est possible grâce aux canaux ce transmission. On est en terrain keynésien où on n'a pas forcément équilibre. B Les canaux de transmissions : On distingue 2 principaux canaux de transmission : La money view : les objectifs intermédiaires peuvent avoir un effet réel. C'est le canal de la monnaie. Pour les auteurs keynésiens, on a une forte corrélation entre MM et activité économique. La credit view : canal du crédit. BERNANKE et BLINDER considèrent qu'il y a des imperfections sur les marchés financiers donc les entreprises et les ménages se tournent cers les banques d'où un rôle crucial des banques de 2nd rang. [...]
[...] Toutefois, ce modèle se retrouve chez BARRO, GORDON, ROGOFF 2 Les canaux de transmission de la politique monétaire dans le monde réel : Dans les 90's, la distinction entre objectifs finals et objectifs intermédiaires est apparue. Les objectifs finals sont liés au Carré Magique de la politique économique lorsque les hypothèses précédentes sont vérifiées. En réalité, le carré magique est une situation idéale qui permet d'identifier ce qui ne va pas. A Objectifs intermédiaires et objectifs finals : 1 Les objectifs finals : 1. [...]
[...] H7 : Hypothèse simplificatrice sur le comportement des agents vis-à-vis de l'argent : ils ont le même dans les 2 pays. Le taux de change va donc dépendre des politiques monétaires. On exprime les prix dans chaque pays : Dans le pays national : pt = mt - (yt + (it Dans le pays étranger : p*t = m*t - + Par différence avec H7, on a : p*t-pt = m*t mt - ( yt) + ( - it) Log e = m*t mt - ( yt) + ( - it) B Conclusions : Conclusion 1 : Toute augmentation de l'offre de monnaie (dans le pays national, les autres variables restant constantes) entraîne une baisse du taux de change c'est-à-dire une détérioration de la monnaie du pays. [...]
[...] Si le taux de change est monétaire alors sera une conséquence des mouvements internationaux de capitaux et non une cause. Les échanges commerciaux sont subordonnées au problème de création monétaire en économie ouverte. Il y a d'autres hypothèses simplificatrices discutables. H2 : On suppose 2 pays, un national et un étranger. La fonction de demande de monnaie de monnaie dans les 2 pays est de type KEYNES-PATINKIN d'où Mt/Pt (encaisses réelles) donc les agents demandent un pouvoir d'achat. Ce sont des agents rationnels. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture