Economie monétaire, cours d'économie de 30 pages
[...] Conclusion et Introduction de l'analyse monétaire : De cette analyse de l'inflation découle des recommandations keynésiennes de lutte contre l'inflation. A l'inverse de Keynes, les classiques estiment que l'inflation est la cause de l'état est préconise un retrait de l'état dans l'économie, ce sont des libéraux pur voir des ultra libéraux. Keynes a opté pour un libéralisme plus modéré, il souhaite que l'état prenne ses responsabilités, c'est-à-dire que l'état prenne des mesures à contre carrer l'inflation, c'est-à-dire à supprimer l'état de crise en développant de réelles mesures contre la crise. [...]
[...] Cette contre partie c'est le crédit F aux entreprise, D à l'état et L au reste du monde. On les regroupe parfois en deux catégories : F+D le crédit interne (résidents) et L externe (non résidents). ( Les agrégats de monnaie centrale : C'est la monnaie émise par la banque centrale notamment dans la zone euro, elle est celle émise par l'eurosystème qui est l'ensemble constitué par la BCE banque centrale européenne et les banques centrales nationales des pays membres. [...]
[...] Pour autant ce n'est pas la fonction caractéristique de la monnaie. B - Paiement : C'est la fonction caractéristique de la monnaie qui est donc un pouvoir d'achat général et immédiat. Un pouvoir d'achat général : La monnaie permet à son titulaire d'acheter tout bien à l'intérieur d'une zone géographique déterminée. Si la zone correspond au territoire d'un état ou d'une union d'état, la monnaie est dite nationale. Dans sa zone la monnaie nationale bénéficie de ce que l'on appel le cours légal. [...]
[...] En France les idées de PALMSTRUCK vont être appliquées au début du XVIII° siècle, après la mort de Louis XIV mais avec beaucoup moins de prudence qu'en Angleterre. En 1715, un banquier écossais du nom de John LAW propose au régent de Louis XV de lancer le billet convertible, il fonde alors la banque royale dès 1715, placée sous l'autorité des pouvoirs publics. Mais comme la France a du retard, on va mettre les bouchés doubles. Il va émettre des billets contre créances commerciales en beaucoup trop grand nombre et par conséquent, le doute sur la solvabilité de la Banque royale va s'installer assez vite et 5 ans après, en 1720, une panique s'empare des porteurs de billets qui se présentent tous quasiment en même temps pour en demander la conversion ce qui va être impossible pour la banque : banqueroute. [...]
[...] Les banques avaient un très gros problèmes : nombre excessif de petit chèque par rapport au coût de gestion de chèque. La carte a elle un coût de gestion plus faible. P a r t i e II L e c r é d i t : Chapitre III Les instruments de financement et d'épargne : Ils sont en principe mais seulement en principe différents. Il arrive en effet qu'un même instrument serve à la fois au financement d'un agent et à l'épargne d'un autre agent. Ils sont appelés des titres. [...]
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