Economie monétaire, quantification, création monétaire, risque d’illiquidité, accords de Bâle 1
Définir et mesurer la monnaie est une entreprise difficile , sans doute même impossible ; comme le montrent les débats entre les théoriciens de la demande de la monnaie et les discussions entre les statisticiens pour quantification chiffrée. Il existe plusieurs approches quant à la définition de la monnaie .
[...] Ce n'est pas l'encaisse qui détermine les dépôts, mais ce sont les dépôts qui déterminent l'encaisse. Différents types de risques de l'intermédiation : Les intermédiaires financiers jouent un rôle essentiel dans la mesure ou ils prennent à leurs comptes les risques qu'aurait dû prendre les épargnants , ces risques sont issus de la transformation des dépôts en crédit 1er risque : risque d'illiquidité Les épargnants qui ont procédé à des placement à court terme peuvent souhaiter récupérer leurs fonds, alors que ceux ci ayant permis de financer les crédits à long terme sont immobilisés pour une longue période. [...]
[...] ECONOMIE MONETAIRE : INTRODUCTION : Définir et mesurer la monnaie est une entreprise difficile , sans doute même impossible ; comme le montrent les débats entre les théoriciens de la demande de la monnaie et les discussions entre les statisticiens pour quantification chiffrée. Il existe plusieurs approches quant à la définition de la monnaie . - l'approche fonctionnelle de la monnaie : les formes que prennent la monnaie sont nombreuses et changeantes, il est donc commode de définir la monnaie par l'usage qui l'on en fait, c a d les fonctions qu'elle remplie. Depuis Aristote , on reconnaît 3 fonctions à la monnaie : a. [...]
[...] Dans cet exemple, les demandes de billets représente statistiquement 12% des dépôts et la banque centrale impose des réserves obligatoires de 4%. Un client X vient déposer sous forme de billets ; la banque commerciale ( 10% des parts de marché ) va créditer le compte du client de ; le réseau bancaire de cette banque commerciale décide d'augmenter ses crédits à sa clientèle jusqu'à ce que sa réserve de billets s'épuise totalement . Ce réseau va commencer par créer un crédit nouveau de à Y des billets qu'il détenait fuient auprès du public du solde du dépôt restant ( BIS = BRI ( banque des règlements internationaux ) BRI : Les accords de Bâle 1 ( ratio Cooke et 3 : Les accords de Bâle : Accord de Bâle : ratio de Cooke, il faudrait que les fonds propres (réserves) couvrent au moins pour parer aux soubresauts de l'économie (être prêts à rendre l'argent en cas de réclamation) Accord de Bâle : Exigence d'une meilleure gestion du risque Accord de Bâle : suite à l'insuffisance de Bâle traiter le secteur en entier ( éviter le risque systémique. [...]
[...] La question devient alors : Par combien doit on diviser le volume de crédit distribué pou déterminer les liquidités dont une banque aura besoin. En d'autres termes , le diviseur de crédit peut être interprété comme la monnaie centrale qui devra être crée devrait être égale au montant des crédits rapporté au diviseur . Dans cette nouvelle approche, le rôle fondamental dans la création de monnaie revient aux demandeurs de crédit, le problème du banquier étant de détenir un montant d'actif mobilisable qui soit suffisant . [...]
[...] Caractéristiques : la nature de la monnaie s'apparente à celle d'un bien publique, particulièrement la caractéristique d'absence de rivalité, en effet, les avantages que peut retirer un agent économique proviennent de ce que d'autres agents en font déjà usage. L'utilité de la monnaie est nulle s'il ne se trouve qu'un seul agent à son servi. la monnaie n'est pas considérée comme un bien de consommation, ni un capital technique, elle ne peut être incluse dans une combinaison productive de facteurs de production. la détention de la monnaie repose sur la confiance, par ailleurs elle est considérée comme un symbole social dans une communauté. [...]
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