colbertisme, mercantilistes, économie de marché, sciences économiques, concurrence, protectionnisme
Cela existe depuis la nuit des temps, elle existe depuis toujours par l'échange, par le troc. Nous on va étudier l'économie de marché qui est née du marché, le nouveau réel et virtuel. Dès que le troc se fait avec + de 2 personnes on va avoir une sophistication bien plus grande et on voit apparaitre 2 évolutions qui va être la mise en concurrence et à partir du moment où il y a un demandeur et bien on a mise en concurrence donc confrontation avec l'offre et la demande.
L'argent au départ est accessoire et donc non indispensable, mais il va devenir un instrument d'échange commode, il facilite l'échange, la monnaie existe depuis longtemps 7 siècles av J-C.
[...] C'est un banquier agent de change. Il va reprendre une partie des idées d'Adam Smith. Trop d'impôts. Il voit que grâce à la machine à vapeur on peut construire tout bien plus vite. A son avis le développement va s'arrêter et on va atteindre un état stationnaire car on ne peut plus réaliser des profits supplémentaires. Il va y avoir un moment où on ne peut pas produire plus, une saturation. Son raisonnement est le suivant : il se dit que pour qu'un produit ait de la valeur il faut qu'il soit désiré. [...]
[...] Si le prix est supérieur au prix naturel alors c'est bénéfique pour le producteur car ça vaut la peine de produire. Si les quantités offertes sont > à le demande. On va les vendre moins chers. L'intérêt individuel conduit au collectif. - L'important de l'offre dans la réalisation de l'équilibre sur les marchés. - L'apologie de la libre-concurrence et la condamnation des monopoles - La nécessité de la libre-circulation de marchandise. Les échanges ce n'est pas une guerre. Ce qui est source de richesse est le travail et le capital. L'épargne favorise l'investissement. [...]
[...] Une partie de raisonnement est le même que celui de Ricardo. Il constate qu'il y a une forte augmentation de la population et ça augmente plus vite que les productions agricoles. Il va affirmer qu'il y a un rendement décroissant de la terre. Ricardo pense qu'il faut changer les choses car si rien n'est fait il y aura encore une grande différence entre les humains et les biens. Pour lui les produits agricoles augmentent selon une suite arithmétique et les hommes c'est géométrique le problème c'est que le nombre d'homme augmentait. [...]
[...] Il faut baisser les barrières douanières et donc faire baisser les prix donc une vision du libre-échange laisser faire laisser passer ils s'adressent aux voies centrales. Et donc ils donnent les côtés mauvais du colbertisme. L'Etat doit diminuer les contraintes administratives au sein du même pays. Les propriétaires doivent payer un impôt. Quand Louis XVI est arrivé il fallait retrouver de l'argent donc il va contraindre tous les ministères à arrêter l'excès de dépense et en 2 ans on va considérablement réduire le déficit. Les physiologistes veulent le moins possible d'intervention de l'Etat le producteur sera si le produit est de bonne qualité. [...]
[...] Capitalistes Travailleurs : - Les ouvriers (productifs) - Les improductifs Il faut maintenir le revenu de ceux qui maintiennent la demande il faut pas augmenter les productifs car sinon on augmente leur salaire. Donc augmenter les propriétaires terriens Jean-Baptiste Say originaire d'une famille de protestant. Lui est né en France ses parents étaient entrepreneurs et il va être chef d'entreprise. Laisser passer laisser faire, il demandait une société libérale et lorsqu'il a vu Napoléon et bien il l'a fortement critiqué. C'est un vulgarisateur il a traduit l'ouvrage d'Adam Smith. C'est un théoricien et 1er professeur d'économie. Pour lui l'utilité est la source de la valeur et donc source de richesse. [...]
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