Economie industrielle, comportements stratégiques, performances, marché, différenciation
Les écoles de l'économie industrielle :
- L'école de Harvard (Bain, Mason) si performance jugée élevée (surprofits). L'état doit agir sur la structure (faciliter les entrées).
- L'école de Chicago (Stigler) : les surprofits n'apparaissent que si des réglementations protègent les entreprises en place qui deviennent alors inefficaces. L'approche est la suivante : comportement- performance-structure. Le mécanisme régulateur du marché est la libre concurrence entre les entreprises.
- L'économie industrielle depuis les 80's post-Chicago) ou nouvelle économie industrielle (Triole) : comportement-structure et performance s'influencent mutuellement, Progrès dans les deux domaines fondamentaux : comportement des acteurs en dynamique et étude des asymétries d'information (théorie des jeux non coopératifs).
[...] Elle peut avoir comme impacte : augmentation du pouvoir de marché, facilité les ententes Verticale : c'est-à-dire entre firmes d'une même filière verticale. Elle peut avoir comme répercussion, l'exécution des rivaux ; la création, de barrière a l'entre à travers le contrôle des débouché ou de l'approvisionnement. La mesure de la concentration : l'indice le plus utilisé est l'indice de Herfindahl - Hirshmann. Il est établi en additionnant le carré des parts de marché de toutes les firmes d'un marché considère. Ou : si est la part de marché de l'entreprise i et n est le nombre d'entreprises. [...]
[...] Le prix est donc supérieur au prix de la concurrence parfaite. Exemple : le prix du vol paris-Toulouse a baissé depuis qu'Air France n'est plus la seule compagnie sur ce segment. Plus de gens prennent l'avion pour le trajet Paris Toulouse (même chose pour paris-Casa). L'oligopole Un nombre limité de vendeur, atomicité de la demande. Impact sur les conditions du marché (interdépendance conjecturale) du cotée de l'offre contrairement à la demande. Stratégie de compétition / stratégie de coalition (équilibre non coopératif/ coopératif) Le duopole de Bertrand(1883) Bertrand considère non pas la production de la concurrence mais son prix, les entreprises fixent leur prix simultanément et de façon indépendante. [...]
[...] - La marque est le signe distinctif d'un produit ou d'un service. Elle doit etre distinctive et non desciptive, etre licite et encore disponible. La protection de la marque est temporaire ans ( renouvelable). La marque peut etre orale ( slogan, chiffre . ) ou visuelle/graphique ( couleur, logo). La marque peut etre complexe (les elements pris separement constituent encore une marque) ou composée. - Dessins et modéles : le dessin ou modele peut prendre un aspect bidimensionnel ou tridimensionnel . [...]
[...] la conséquence est bien évidemment une accélération du processus de diminution des prix jusqu'à s'établir au niveau des couts moyens et que les profits des deux entreprise soient nuls (Le paradoxe de Bertrand). Le duopole de Cournot Contrairement à Bertrand. Cournot considère que ce sont les quantités qui sont fixées par les entreprises du duopole / oligopole. La tâche pour l'entreprise va consister dans la fixation d'une quantité à produire en fonction de la quantité produite anticipée de la concurrence. [...]
[...] A ce prix les deux firmes font un profit nul. Supposons que la firme 2 augmente) peine son prix. La firme 1 est alors face à une demande qu'elle ne peut satisfaire. Soumis au rationnement, quelques-uns des consommateurs doivent s'adresser à la firme 2. La firme 2 récupère une demande résiduelle non nulle a un prix supérieur a son cout marginal et fait ainsi un profit positif. In théorie de l'organisation industrielle, T2, Tirole) La question qui se pose : cette contrainte de capacité est-elle pertinente. [...]
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