Jean Fourastié : Pourquoi travaillons-nous ? (1959)
Il est surtout connu pour ses études sur les transformations économiques et sociales de la France qui mettent en évidence l'évolution des trois grands secteurs d'activité et l'ampleur de la « révolution invisible » qui s'est produite depuis la fin de la seconde guerre mondiale.
- Quelles sont les principales idées du texte qui permettent à l'auteur de construire son raisonnement ?
- Trouver trois mots valises /concepts qui illustrent le texte.
- Proposer une définition de la science économique.
- Quelles critiques peut-on formuler à l'encontre de la thèse de Fourastié ?
(...)
[...] Quand il n'y a pas d'épargne on désépargne tout à la fin de notre vie. Vérifications empiriques ont montré que la hausse du patrimoine se poursuit le plus souvent bien généralement au-delà de la retraite. Niveau de vie et mode de vie Intro : la dépend des revenus, mais elle n'échappe à des déterminations supra individuelles : Mode de vie, niveau de vie elle renvoie aux conditions d'existence et des manière de vivre d'un groupe, la n'est pas seulement affaire de revenue, la sociologie a mi en évidence les liens multiples, styles de vie et des positions dans l'espace sociale Revenus et structure de les lois d'Engel Milieu XIX de nombreuses études se multiplient sur les ménages populaires. [...]
[...] C'est un rapport qui peut porter sur tout, par exemple la mondialisation, le peak oil . Il y eu alors de nombreux rapports dont un ; Les explications de la hausse du rapport capital/travail ayant pour titre Partage de la VA. Deux économistes sont à la tête de ce rapport, Patrick Artus et Daniel Cohen. Ce rapport explique pourquoi en France depuis la fin des années 30 il y eut un accroissement de l'intensité capitalistique (donc substitution capital/travail). Deux explications à ce fait : Dans les années 70 après la crise, la part des VA a augmenté dû au partage des salaires dans la VA ; Par conséquent le coût du travail a augmenté et les entreprises y ont répondu en substituant le capital au travail. [...]
[...] C'est un sacrifice dont on espère un retour. On peut l'assimiler au coût d'opportunité : je renonce à pour. Bohm Bawerk évoque le détour de production (engagement de capitaux) c'est-à- dire faire des dépenses de recherche et développement (exemple : achat d'une maison, réparation d'une toiture, mais attention, acheter des actions n'est pas un investissement). Il y a trois formes d'investissement : Investissement financier (argent placé dans une banque) Investissement technique (au sens de la FBCF c'est-à-dire valeur des achats de biens durables acquis au cours du processus de production (actif corporel et machine inclut)). [...]
[...] Dc productivités suppriment du travail ds secteur qui se modernise. Les hommes vont dc dans un premier temps en ville (exode rural). Puis après industrie et secondaire, ya tertiarisation de l'éco. En travaille dans les campagnes (2sur 40). Transfert de main d'œuvre. 3eme Réduction du temps de travail. Si machine remplace l'homme, on peut baisser le tps de travail. C'est l'objet du livre de Fourastié appelé les hommes. Il montre que le gd espoir du XX e siècle, c'est le PT. [...]
[...] A l'inverse si la demande décroît et tx d'I diminue. Cette loi repose sur 2 conditions : -le capital doit être utilisé à son maximum : tx d'utilisation des capacités de production doit être proche de 100% -augmenter la production mais pas les prix. -coût relatif des facteurs de productions : hausse des coûts salariaux ou des gains de productivité peuvent déclencher un investissement. Intensité capitalistique augmente. Au niveau micro : la hausse des salaires peut insister l'entreprise a I car la hausse du salaire fait baisser le coût relatif du K > technique plus capitalistique. [...]
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