Théorie, notion, routine, organisation, économie, firme, connaissance, tacite
Ce document apporte de nombreuse notions sur la théorie des routines organisationnelles chez Nelson et Winter.
Il comporte une présentation de l'analyse de Nelson et Winter de la diversité des performances et compétences organisationnelles et une présentation détaillée de leur notion de routine organisationnelle et son rapport avec la notion de connaissance tacite.
[...] Polanyi (les connaissances tacites) Cyert et March (la théorie des coalitions organisationnelles) Les caractéristiques des routines Un type de comportement récurrent Un comportement collectif et non seulement individuel Un comportement inconscient et spontané La notion de connaissance tacite chez Polanyi Un comportement situé Le problème du mémoire organisationnel La dimension politique des routines Routine comme trêve Conclusion Les routines et la diversité organisationnelle Les routines et la théorie évolutionniste de la firme Untitled-2.JPG Les faits stylisés à expliquer Les firmes ne sont pas identiques en termes de leurs performances et ces différences ne sont pas transitoires Les frontières de la firme ne sont pas fixés de manière aléatoires La théorie de Nelson et Winter, comme la théorie de Penrose, offre une réponse à la première question. Untitled-2.JPG Nelson et Winter: une approche éclectique à la firme Une inspiration de March et Simon. La notion de routine comme répertoire des connaissances. La routine est l'unité d'analyse fondamentale dans l'approche de N et W Une inspiration du travail de M. Polanyi sur les connaissances tacites. Les routines s'appuient sur les connaissances qui sont partiellement tacites et « non codifiables ». [...]
[...] We propose that the routinization of activity in an organisation constitutes the most important form of storage of the organization's specific operational knowledge. Basically we claim that organisation's remember by doing . ” (Nelson et Winter p. 99) Untitled-2.JPG La capitalisation des connaissances L'hypothèse que la capitalisation des connaissances dépend de la pratique et de l'utilisation régulière des routines est directement liée avec l'importance attribuée par Nelson et Winter aux connaissances tacites et situées. Untitled-2.JPG La capitalisation des connaissances « But the knowledge stored in human memories is meaningful and effective only in sme context. [...]
[...] Une inspiration de la littérature sur les conflits organisationnels (Cyert et March). N et W développent l'idée de la routine comme compromis ou trêve politique. Untitled-2.JPG Les trois critère d'une approche évolutionniste dynamique historique La notion de la ‘dépendance du sentier' le principe d'auto-transformation Untitled-2.JPG La définition d'une routine Les routines sont récurrentes Les comportements répétés ? Ou, les règles ou ‘modèles cognitifs' qui engendrent des comportements répétés ? Untitled-2.JPG Les routines sont collectives Les routines sont distribuées entre les différentes membres de l'organisation Par conséquent, les connaissances sont distribuées dans l'espace. [...]
[...] Les règles de conduite La musique D'après N et les routines s'appuient sur la connaissance subsidiaire. Untitled-2.JPG Economiser dans l'usage des ressources cognitives rares La notion de la connaissance tacite telle qu'elle est développée par Polanyi permet de comprendre comment les routines permettent à la firme d'économiser sur l'usage des ses ressources cognitives rares. Untitled-2.JPG Les routines sont situées par rapport à un contexte spécifique Nelson and Winter développent la notion de connaissances situées, associée notamment avec les chercheurs de « l'Ecole de Californie » tels que Jean Lave et Paul Duguid. [...]
[...] Les routines sont des facteurs de stabilité et de reproduction des formes organisationnelles (capitalisation des connaissance). Le principe de mutation ou du changement est assuré par l'activité de R&D qui vise l'innovation et le développement des nouvelles routines (changement incrémentale). Untitled-2.JPG La sélection par le marché Dans la théorie de N et W le marché et la force de la compétition assurent l'élimination des ‘mauvaises' routines. La diffusion des ‘bonnes' routines est assurée par l'expansion des firmes réussies et par le processus imparfait d'imitation par d'autres firmes. [...]
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