Économie descriptive, cours d'économie, consommation des ménages, revenu primaire, revenu disponible brut RDB, impôts, imposition, état providence, ressources, emplois, phénomènes économiques, relation profit-investissement
La croissance économique correspond à des entreprises localisées sur le territoire français qui augmente leur activité s'une année sur l'autre. Elle augmente le niveau de la production d'année en année, car elles attendent une augmentation de la demande.
La croissance a trois piliers (moteurs) : l'investissement, les exportations, la consommation des ménages. La croissance de la production n'existe que si ces trois composantes progressent. Ce n'est pas la croissance qui influe la consommation, mais bien la progression de la consommation des ménages qui engendre la croissance. Il existe une opposition entre les écoles classiques et keynésiennes concernant le point de vue porté sur la détermination du comportement des ménages. Ces deux écoles correspondent aux deux grands courants théoriques.
[...] Elle a piqué sept points de va, on va se débrouiller pour revenir au niveau de 72. Si les salaires reviennent au niveau de départ cela permettra au profit de retrouver leur niveau initial. Un gouvernement de gauche qui s'occupe des profits. ● On considère que les salaires sont responsables de l'inflation. Elle est répercutée par les entrepreneurs dans les prix de vente. L'inflation qui dépasse 10% on veut l'a ramener à moins de 5%. ● On veut rétablir la balance commerciale, des salaires comprimés compriment les importations. [...]
[...] Comprendre l'évolution des profits dégagés par les entreprises c'est 28 analyser l'évolution de la part des salaires dans la va, car les profits c'est la va – salaires. C'est ce qui n'est pas distribué en salaires. Quand la part des salaires gonfle, les profits vont voir leur poids reculer de façon significative. Quand on va réussir à dégonfler la part des salaires dans la va. Grâce à ce dégonflement la part des profits va pouvoir gonfler. Le point de départ c'est l'arrêt net en 73 de la croissance. [...]
[...] C'est une théorie née il y a 50 ans aux usa dans un pays où la société a des particularités différentes que dans la société française. Elles se sont accentués dans les 15 dernières années. C'est un pays qui connait régulièrement la formation de bulles spéculatives, c'est une flambée exagérée des prix sur n'importe quel marché d'actifs, c'est un marché où on achète des biens qui témoignent d'une détention de richesse. D'où vient la flambée des prix, que j'ai commencé à qualifier d'anormale. La flambée des prix résulte du fait que la demande sur ce marché augmente bien plus vite que l'offre. [...]
[...] On pourrait calculer plusieurs indices de prix en fonction des catégories de population et du type de conso. Troisième : un indice de prix est une moyenne entre certains biens achetés tous les jours (biens alimentaires) et les prix des biens durables renouvelés peu fréquemment, le prix des premiers a augmenté beaucoup plus vite que le prix des seconds, notamment avec le passage à l'euro. Le prix des biens alimentaires augmente beaucoup plus vite que les autres, les ménages surévaluent le poids des premiers biens, ce qui leur donne l'impression d'une augmentation plus rapide des prix que l'indice des prix officiels Quatrième : deux types des dépenses, les non-contraintes et les contraintes (pré engagées : Edf impôts loyer) elles représentent aujourd'hui 40-50% du revenu des ménages car le prix de ses dépenses augmente plus vite que les autres dépenses à cause des loyers notamment, le budget des ménages est aspiré, happé par les dépenses contraintes, l'évolution du pouvoir d'achat leur apparaît moindre que les indices officiels. [...]
[...] • Le partage des fruits de la croissance. Quand la croissance est dynamique, le chômage recule, les salariés arrivent alors à faire aboutir leurs revendications salariales (8890) et donc à faire partager les fruits de la croissance au profit des salariés périodes qui découpent ses 60 dernières années : • Les 30 glorieuses avec une croissance du rdb de 5-6%. • 73-83 avec un rythme de croissance du rdb divisé par 2 en raison d'une baisse brutale du rythme de la croissance. [...]
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