Economie contemporaine : consommation et épargne, monnaie, revenus, etc.

Aurore J.

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Economie contemporaine : consommation et épargne, monnaie, revenus, etc.

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La théorie économique libérale a pour l'essentiel un des fondements qui remontent au XVIIIe siècle. Les économistes qui ont défendu cette dernière étaient appelés les Classiques.
- Adam SMITH
- LOCKE
- D. RICARDO
- J.B. SAY

Les marchés concurrentiels assureront à eux-mêmes un fonctionnement satisfaisant de l'économie.
La loi de Say (ou Loi des débouchés) est un principe énonçant que la création d'un bien trouve toujours un débouché, dans la mesure où le bien est de qualité.

En d'autres termes : l'Offre crée la Demande.

"C'est la production qui ouvre des débouchés aux produits", J.B. SAY (...)

Sommaire

Chapitre 1. Notre économie

Section 1. L'équilibre du circuit économique

I) L'équilibre en économie fermée sans Etat
II) L'équilibre en économie ouverte dans Etat
III) L'équilibre en économie ouverte avec Etat

Section 2. Capacité et besoin de financement

Section 3. L'offre et la demande

I) La demande
II) L'offre
III) L'équilibre offre/demande

Section 4. Repères théoriques

I) Les économistes libéraux
II) Les fondements de l'intervention

Chapitre 2. Consommation et épargne

Section 1. Le multiplicateur de dépense

I) Le processus
II) Le schéma du circuit
III) Multiplicateur et politique économique
IV) L'équilibre entre Investissements et Epargne

Section 2. Les autres déterminants

I) L'effet de richesse
II) L'effet de démonstration et la théorie du revenu relatif
III) La théorie du cycle de vie
IV) L'institutionnalisation de l'Epargne

Chapitre 3. Monnaie, inflation et crise

Section 1. Fonction et forme de la monnaie

I) L'unité de compte
II) L'intermédiaire des échanges
III) La réserve de valeur
IV) La liquidité
V) Les formes de la monnaie et les agrégats monétaires

Section 2. La création de monnaie

I) Les mécanismes de la création monétaire
II) Les limites à la création monétaire
III) La politique monétaire

Section 3. Les théories de la monnaie et de l'intérêt

I) La place de la monnaie dans l'économie
II) La théorie quantitative de la monnaie
III) La détermination du taux d'intérêt

Section 4. L'inflation

I) Les déséquilibres économiques générateurs d'inflation
II) Les processus de transmission de l'inflation
III) Les effets de l'inflation
IV) Les politiques de lutte contre l'inflation

Section 5. Les crises financières

I) La crise de 1987
II) La crise actuelle de l'été 2007 à l'automne 2008

Chapitre 4. La redistribution des revenus et la protection sociale

Section 1. Les inégalités des revenus

Section 2. Les positions concernant la justice sociale

Section 3. Le système de protection sociale en France, en Allemagne et en GB

I) Le système français de protection sociale
II) Le financement de la protection sociale et la permanence des déficits
III) Les retraites

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Extraits

[...] - Etat providence (protection sociale très généreuse : chômage, maladie, retraite, allocation familiale, etc. + une répartition des - Une politique keynésienne (multiplicateur, etc.). C'est la politique de STOP AND GO. Pendant cette période les managers avaient des objectifs industriels internationaux. Capitaliste industriel jusqu'à fin 1970. Distribution de options''. Cette nouvelle forme de capitalisme va engendrer de nouveaux objectifs (délocalisation / licenciements, etc.). Politique d'externalisation (faire faire à l'extérieur ce que l'on ne veut pas faire à l'intérieur). Abandon de mains d'œuvre trop chère pour plus de profits. [...]

[...] La consommation des ménages représente environ 55% du PIB. Il y a donc 45% du PIB utilisé pour des besoins autres que ceux des ménages. La consommation de l'Education et de la Santé sont aidées par la collectivité, elles ne sont pas totalement imputables au budget d'un ménage. Ces aides sont fournies gratuitement par les administrations publiques si les bénéficiaires sont identifiables. Epargne : Partie du revenu qui est thésaurisée. La propension à consommer = C/RD = 85% C'est-à-dire que 85% des revenus des ménages sont pour la consommation. [...]

[...] Le mardi 16 septembre tout le système éco américain est au bord de l'implosion. AIG est sauvé par Paulson ; la conséquence est la provocation d'une défense. Si on sauve AIG s'est qu'on se rend compte du système systémique, d'où la provocation de cette défense. Si la réserve fédérale injecte de l'argent inter-bancaire, ça a fait baisser les taux au lieu de les baisser, pour que les banques continuent de se prêter de l'argent. Dexia = . Fortis = Institution à la fois belge, hollandaise et luxembourgeoise. On se précipite à leurs pieds. [...]

[...] - Effet de cliquet : la réaction des américains. Si on est mis au chômage, nos revenus baissent mais notre consommation va se maintenir (en revanche, on diminue l'épargne). - Le revenu relatif : la propension, d'un ménage, à consommer ne dépend pas de son niveau de revenus, mais de la position du revenu qu'on touche dans l'échelle du revenu. 3 : La théorie du cycle de vie : Explicitement formulée pour faire la différence entre des revenus microéconomiques et des revenus macroéconomiques : - Revenus microéconomiques qui augmentent ( une épargne qui augmente. [...]

[...] L'arbitrage se fait entre la thésaurisation et l'achat de titres financiers. Le choix qui se pose est soit de souscrire à des obligations perpétuelles (emprunt à date non fixée, susceptible d'être acheté et vendu à la bourse, c'est le marché d'occasion). Sur le marché boursier, on parle du cours d'une obligation ou action (c'est- à-dire le prix auquel on peut acheter ou vendre celle-ci. Ex : Le cours d'une obligation de émise par le crédit foncier avec un taux d'intérêt à 10% en 2000 est aujourd'hui à 200€. [...]

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