L'activité humaine présente un aspect économique lorsqu'il y a lutte contre la rareté. Tout individu éprouve des besoins illimités, besoins qui sont satisfaits des biens et des services qu'il faut produire. Les ressources étant limitées, il y a donc un problème de rareté et l'économie est la science qui va gérer cette rareté. Face à la rareté, les individus sont contraints de faire des choix et sont obligés de faire des arbitrages. La science économique est l'analyse des choix rendus nécessaires par la rareté des ressources.
[...] Les APU, la production non marchande et les ménages consomment et épargnent. L'intérêt du circuit est de substituer à la représentation s'habitable une représentation comptable. Ainsi, les diverses opérations sont enregistrées dans les comptes en T qui sont par nature équilibrés. Au niveau des marchés on porte en ressource l'origine des biens et services disponible et en emplois les utilisations de ses biens et services. Au niveau des agents on porte en ressources des opérations donnant lieu à des entrées de monnaie et en emplois des opérations qui donnent lieu à des sorties de monnaie (achat, impôt payé) Les comptes en devant être équilibré par nature, on va porter le solde dans la colonne de l'équilibre. [...]
[...] Le prix plafond : Si le gouvernement impose un prix maximum en dessous du prix d'équilibre, il en résulte généralement un rationnement de la demande, c'est-à-dire une pénurie. Le prix plafond se justifie en général par des considérations d'équité afin de permettre à tout le monde l'accès au bien. Les conséquences de ce type de mesures c'est la réduction de l'offre (pénurie) ou le marché noir et la création d'un prix de réserve très élevé. III : Comment les marchés imparfaitement concurrentiels fonctionnent-ils ? Dans la réalité les marchés existants ne réunissent pas toujours les conditions qui permettent dès les considérer comme concurrentiel. [...]
[...] L'entreprise dispose des pleins pouvoirs pour diriger l'entreprise et prend seule ses décisions. Aucun capital minimum n'est requis, il décide de la mise à engager dans son activité. Le patrimoine de l'entreprise est confondu avec le patrimoine de l'entrepreneur qui est indéfiniment responsable des dettes professionnelles sur son patrimoine. C'est la raison pour laquelle a été mise en place le 1er janvier 2011 l'EIRl qui reprend les caractéristiques de l'entreprise individuelle, mais qui s'en distingue sur deux points : L'étendue de la responsabilité : celle-ci est limitée au patrimoine d'affectation. [...]
[...] (Dans le premier cas la production se mesure en comptabilisant me nombre d'unité produite multiplié par le prix du marché ce qui permet une évaluation à partir du chiffre d'affaires. (Dans le deuxième cas, on cherche à mesurer ce qu'a réellement créé une organisation productive par son activité auquel cas il convient de prendre en considération les biens et les services achetés ont d'autres entreprises qui sont intégrées à sa production, mais qui n'ont pas été produites par elle (consommations intermédiaires). [...]
[...] Le choix se fait essentiellement en fonction du cout relatif entre le travail et le capital. Efficacité de la combinaison productive La productivité = production/facteurs de production. La production par tête = Production/Effectif La production horaire = Production/Nombre d'heures de travail La productivité mesure l'efficacité de la combinaison productive puisqu'elle désigne le ratio entre la production et les facteurs de production qui ont permis de la réaliser. Une productivité élevée signifie que l'entreprise combine efficacement ses facteurs de production, c'est-à-dire que son cout unitaire est plus bas donc sa compétitivité prix est plus forte. [...]
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