L'économie mondialisée découle du système capitaliste. Ce système capitaliste, dans une optique marxiste repose sur une logique d'accumulation du capital. La mondialisation procède à l'extension progressive de la sphère des échanges. Dans cette optique, les échanges se feraient d'abord au sein de la famille puis du clan. Ils se feraient ensuite entre familles à l'intérieur du village, puis entre villages voisins pour s'étendre à l'échelle de la région puis du pays (...)
[...] La composition des échanges industriels se modifie. La part des textiles baisse, le coton remplace peu à peu la laine ; la part des productions chimiques et métallurgiques augmente. Durant la seconde moitié du 19e, il y a de nouveaux progrès significatifs dans les transports, qui vont démultiplier les échanges : - ouverture du canal de Suez en 1869 et du canal de Panama en 1914 - émergence de la navigation à vapeur fin 19e - au niveau des communications avec le télégraphe : 1er câble transatlantique en 1865 - chemins de fer assurant les liaisons à l'intérieur des terres et avec l'apparition du transport d'homme. [...]
[...] Avec la zone américaine, deux types de commerce vont s'organiser : - Le commerce en droiture : l'Europe importe des métaux précieux et des plantes et elle exporte du blé, du bétail et des hommes. - Le commerce triangulaire : l'Europe expédie en Afrique des étoffes, des armes et des produits manufacturés contre des esclaves. Ces esclaves sont ensuite exportés vers les Amériques. Les navires reviennent ensuite en Europe avec des denrées tropicales, de l'or et de l'argent. Le commerce d'esclave, qui était devenu marginal, est réactivé par le Portugal à une ampleur inédite. Entre 1500 et millions d'esclaves vont être acheminés d'Afrique vers l'esclave, dont la moitié par le Portugal. [...]
[...] En 1913, les produits primaires (non transformés) représentent plus de la moitié du commerce international. C'est l'Europe qui domine les échanges. Échanges de marchandises en 1913 (en 40% des échanges mondiaux en 1913 se réalisent entre pays européens, au développement proche + 22 + 15 = 77% des échanges font intervenir l'Europe, soit en tant qu'exportatrice soit en tant qu'importatrice ; les pays européens représentent 77% du commerce mondial du commerce mondial n'impliquent pas un pays européen. Ces échanges ne sont pas fondés uniquement sur l'indisponibilité des biens : échanges intra-branches. [...]
[...] Cela va permettre de fournir d'avantage de plantes fourragères. Ainsi, les animaux affectés au transport vont augmenter en nombre. Donc on augmente les capacités de transport ce qui permet un échange plus important. En Europe médiéval, le commerce se réalise surtout à partir des villes d'Italie mais aussi d'Europe du Nord que l'on nomme la ligue Hanséatique (Lubeck, Hambourg, Bruges). Les foires médiévales émergentes à compter du XIIe siècle. Il s'agit des lieux de rencontre en les commerçants du nord de l'Europe et ceux du sud de l'Europe. [...]
[...] Les marins en question sont souvent italiens. Les commanditaires sont les Etats avec dans un premier temps la république de Venise et de Gênes puis l'Espagne et le Portugal. Ces explorations ne sont possibles que grâce à l'amélioration des techniques de navigation XVIe-XVII : Intensification des échanges Dans les nouveaux territoires d'Amérique on trouve de l'or (ce qui permet de ne pas être dépendant des seules mines d'Afriques). Ce qui va réellement changer la face du monde c'est le cacao, le café, les haricots, pommes de terre, la tomate et le maïs. [...]
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