Dissertation portant sur le thème de la monnaie. Quelles sont ses origines ? Comment et pourquoi est-elle apparue ? Quelle est sa nature, ses caractéristiques ? Quelles sont les différentes approches de la monnaie ? Quelles sont les théories dominantes, et surtout, la théorie quantitativiste est-elle pertinente ?
[...] Une hausse de salaires, augmentent une hausses ses coûts donc des prix, la hausse des prix alimente de nouvelles revendications salariales, c'est la spirale inflationniste salaires prix. Bibliographie : - JM Albertini, Des sous et des hommes. - Alain Testart, Aux origines de la monnaie. - Patrick Castex, Le miracle de la création monétaire Alternatives économiques, HS n°45. - Patrick Castex, Côté pile, côté face Alternatives économiques, HS 45. - John Maynard Keynes, Théorie générale de l'emploi de l'intérêt et de la monnaie. - Milton Friedman, L'inflation, mal incurable - PB Ruffini, Les théories monétaires. [...]
[...] - Elle lamine les dettes. - Le phénomène d'illusion monétaire est parfois bénéfique : ce n'est pas pareil d'avoir une économie où l'inflation est de alors que les salaires augmentent de qu'une économie où l'inflation est nulle mais où les salaires baissent de 1%. Mathématiquement c'est la même chose, mais, l'économie sans inflation est plus difficile à supporter que celle sans. Friedman, après la crise de 70 met au centre de son analyse le danger de l'inflation, déclenchée par la relance. [...]
[...] - Elle peut enfin faire de l'open market : elle vend ou achète des titres aux banques. Si elle leur en vend, elle récupère de la monnaie banque centrale ce qui contribue à faire augmenter le taux d'intérêt et à faire baisser le crédit. Les différentes visions de la monnaie : Pour le mercantilisme la monnaie était la réalité de la richesse. Quand elle augmentait les prix augmentaient selon la théorie quantitative de la monnaie. Le but de la politique était d'en amasser le plus grâce à des excédents extérieurs. [...]
[...] L'effet d'encaisse rompt avec l'idée de neutralité de la monnaie. Le modèle classique ignore l'encaisse réelle Le néo quantitativisme de M. Friedman : Le monétarisme admet tout d'abord que l'économie de marché est stable et tend vers un équilibre de plein emploi. La neutralité de la monnaie est repoussée dans le court terme, elle apparaît dans le long terme. Pour Friedman, la théorie quantitative est d'abord une théorie de la demande de monnaie. L'inflation est un phénomène monétaire : le pouvoir d'achat monétaire se ronge à mesure que les prix augmentent, l'inflation ronge la valeur de la monnaie. [...]
[...] - La neutralité de la monnaie. On est quantitativiste quand on estime que toute instabilité des prix est d'abord due à des causes monétaires. A. Les 1ères versions : 1. Les auteurs préclassiques : Jean Bodin attribuait la hausse des prix à l'afflux d'or. Il ne généralisait pas, on n'avait pas d'idée de proportionnalité. C'est Locke qui l'introduit. Hume dit que le pouvoir d'achat de la monnaie est inversement proportionnel à sa quantité et introduit une distinction entre court et long terme. [...]
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