La dimension économique est prédominante pour définir l'entreprise. L'entreprise a d'abord pour mission de créer des biens et des services en combinant des facteurs de production, des et des services qui seront ensuite vendus sur le marché.
Cette approche de l'entreprise en tant que créatrice de valeur ajoutée a longtemps conduit les économistes à considérer uniquement la fonction technique de l'entreprise et l'entreprise comme une organisation. L'organisation managériale bien qu'apparue avec la révolution industrielle, va réellement commencer à faire l'objet d'une étude systémique qu'à partir du vingtième siècle et le management va alors devenir une discipline à part entière (...)
[...] Enfin, il a largement contribué à la promotion du management lui-même en temps qu'activité professionnelle à portée sociétale. Pour ce faire, le management est d'abord l'affaire de la direction générale, même si l'activité doit se propager dans toute l'organisation. Le dirigeant d'entreprise est ainsi approché comme un authentique chef d'orchestre, idée qui sera contestée par un autre pape du management, Henry Mintzberg. J.-M. Plane, Management des organisations, théories, concepts, cas, Dunod QUESTIONS : Quels sont les déterminants de la finalité d'une entreprise pour Peter Drucker ? [...]
[...] ) correspond le mieux à la technique adoptée (production en continu, en série, unitaire C'est l'environnement qui conditionne la stratégie et la structure de l'entreprise. CONCLUSION Il existe une incroyable diversité des doctrines managériales. Chacune de ces théories a contribué à enrichir la théorie générale sur le management. APPLICATION 1 : Le profil n'est pas la seule finalité de l'entreprise DOCUMENT 1 : Henri Mintzberg Henri Mintzberg, né en 1939, enseigne le management à l'université de McGill à Montréal au Canada. [...]
[...] Ces conclusions ont provoqué un intérêt pour le facteur humain, apparaît alors le management paternaliste. Abraham MASLOW (1908 1970) psychologue, et Douglas MAC GREGOR (1906 1964) professeur - MASLOW a classé les besoins humains en cinq catégories : Les besoins physiologiques : besoins primaires liés à la nécessité de survivre (se nourrir, se loger, s'habiller) Les besoins de sécurité : besoins d'être protégé moralement et physiquement (sécurité de l'emploi, stabilité familiale, santé ) Le besoin d'appartenance et de reconnaissance : besoin d'appartenir à un groupe social Le besoin d'estime : besoin d'être reconnu et estimé, d'avoir des activités valorisantes, un besoin de considération et de respect des autres. [...]
[...] Donc d'autres principes d'organisation ont été développés et notamment on va chercher à satisfaire les besoins fondamentaux de l'organisation. Elton MAYO : 1880 1949, professeur à Harvard Il a dirigé les expériences à Hawthorne (1920 à 1932) à la Western Electric Compagny dans l'Illinois. On a pris deux groupes d'ouvriers : Un groupe test qui était soumis à différents niveaux d'intensité lumineuse dans les ateliers Un autre groupe qui continuait de travailler sous un éclairage constant On pouvait légitiment s'attendre à ce que le rendement individuel soit proportionnel à l'intensité lumineuse. Il n'en est rien. [...]
[...] THEORIE X : correspond au point de vue traditionnel sur la direction et le contrôle. Selon cette théorie, l'individu moyen éprouve une aversion innée pour le travail et fera tout pour l'éviter Il en résulte que les individus doivent être contraints, contrôlés, dirigés, menacés de sanctions pour les pousser à travailler et à atteindre les objectifs fixés. THEORIE Y : les buts de l'individu et ceux de l'organisation peuvent converger si la firme permet le développement de son personnel. En fait, l'effort physique et mental dans le travail est assez naturel, il n'y pas d'aversion innée pour le travail. [...]
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