L'éducation est une activité économique qui mobilise beaucoup de ressources et dont en particulier des ressources financières.
Si on veut évaluer l'ensemble des ressources évaluées dans l'éducation nous pouvons utiliser plusieurs angles d'approches. L'une des manières est d'appréhender le poids de l'éducation dans l'économie est de regarder l'importance des dépenses d'éducation dans le budget de l'Etat.
Pour les comparaisons internationales il était nécessaire d'avoir un concept commun issue de la comptabilité nationale ; on les appelle les « dépenses de l'éducation ».
[...] Un autre argument consiste à dire que si le diplômé à un niveau de salaire plus élevé il payera plus d'impôts, ainsi à travers ses contributions fiscales il remboursera de lui-même sa formation. D'autre part implicitement, les économistes pensant que l'étudiant doit financer ses études, se basent sur l'étude du marché, pour eux les universités sont en concurrence et donc le prix se fixerait en fonction de l'offre et de la demande. Or l'éducation n'est pas un marché comme les autres, il est défaillant. [...]
[...] L'augmentation de la part privé des dépenses doit s'accompagner de mesures compensatoires afin de garantir l'égalité des chances. Les formes de la contribution publique : Contributions directes aux établissements Contribution aux familles/étudiants ->Offre ->(bourses sur critères sociaux, mérites) ->(service crous, logement, repas, santé) ->(prêt étudiant) d'Etat ou banques Les mêmes économistes favorables aux financements par le secteur privé de l'enseignement sont favorables aux systèmes de prêt plutôt que celui des bourses. Apparaissent de plus en plus les frais contingents, cela correspond à la situation professionnel ultérieure, on rembourse les années ou l'on peut le faire grâce à nos revenus, et aux moments où l'on ne peut pas on ne rembourse pas. [...]
[...] Pour les comparaisons internationales il était nécessaire d'avoir un concept commun issue de la comptabilité nationale ; on les appelle les « dépenses de l'éducation ». Comment sont évaluées les dépenses de l'éducation ? Le budget de l'éducation La dépense intérieure d'éducation (DIE) Le système de comptabilité nationale évalue le service d'éducation à son coût de production c'est-à-dire essentiellement le salaire des enseignants. Pour appréhender d'une manière plus complète la dépense d'éducation, l'INSEE à développé des comptes satellites à la DIE, en particulier un compte de l'éducation. Cela date du milieu des années 70. [...]
[...] Alors on voit dans cette équation ci-dessus la difficulté dans laquelle peut se trouver des pays moins développés qui ont une part importante de jeunes dans la population et un PIB par habitant faible. Pour intensifier l'effort d'éducation dans ce cas la variable d'ajustement est la variable par élève. Pour un pays comme la France la problématique est totalement différente, ce pays connait une baisse de jeunes à scolarisé, la part des jeunes dans la population se restreint. L'effort d'éducation entre 1980 et 2004 à été permit par l'évolution démographique, légère augmentation du taux de scolarisation d'élèves Qui finance l'éducation ? [...]
[...] Plusieurs études ont été faites pour tenter de faire un lien entre les effectifs scolarisés et les droits de scolarités, or il y en a pas. Dans les pays où les frais de scolarité sont restreints, l'origine sociale est toujours un frein pour les classes défavorisées, qui n'envoient pas pour autant leurs enfants en facultés. Exemple en Angleterre qui à augmenter ses coûts de scolarité mais qui n'a pas permit de baisse de fréquentation dans ses universités. Exemple aussi de Science Po. [...]
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