Dissertation qui se propose de répondre à la question : qu'est-ce que la croissance ?
[...] Ces théories montrent que ce sont les pays les plus avancés qui ont le plus de chances de progresser et que l'intervention de l'Etat apparaît comme un facteur de croissance. Cependant on reproche aux économistes de la croissance endogène de présenter une version trop simplifiée de la croissance et de ses contenter d'expliquer la croissance par la croissance elle-même. Des théories partielles et partiales : 1. Des théories partiales : On ne se base que sur une conception de la croissance, or ce n'est pas la seule. De plus on assimile la croissance économique à la production, mais seulement à une partie de la production, soit la production économique. [...]
[...] - C-D. Echaudemaison, Dictionnaire d'Economie et de sciences sociales. 3. Mise en culture de terres moins fertiles 6. Baisse des profits 7. Baisse de l'investissement 4. Augmentation du prix du blé 5. Augmentation des salaires 8. [...]
[...] Derrière cette idée, on retrouve celle de rareté, de croissance démographique et l'on rejoint Malthus La loi des rendements décroissants mène directement à la théorie de l'état stationnaire. La solution pour éviter de parvenir à cet état stationnaire et d'éviter l'augmentation du prix du blé, par l'importation. Le modèle Harrod et Domar : Le modèle de Harrod et Domar (1948) résulte de la volonté d'étendre les principes de l'analyse keynésienne. Il est fondé sur la distinction des effets de l'investissement : un effet de revenu et un effet de capacité : pour que la croissance soit équilibrée, il faudrait que ces deux effets soient égaux et donc que la demande supplémentaire créée par l'augmentation des revenus ouvrant suffisament de débouchés à l'offre créée par l'augmentation des capacités de production. [...]
[...] Etat stationnaire 1. Augmentation de la croissance 2. [...]
[...] D'autres innovations permettent l'émergence de la RI. Au final toutes ces interactions définissent un processus que l'on peut qualifier de cumulatif : croissance à la fois de la production et de la productivité. La croissance serait alors un processus cumulatif d'interactions, qui se traduit par la hausse continue de la productivité La croissance économique depuis la révolution industrielle : Pour intégrer cette définition après la révolution industrielle il faut voir les interactions dans un sens élargi qui intègre la technologie, la science, l'enseignement et la recherche. [...]
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