Croissance économique, définition, mesure, analyse keynésienne, PIB, économie souterraine, taux de change, investissement net, amortissement net, progrès technique, croissance intensive
Le PIB en tant qu'indicateur pose des problèmes liés à sa construction et aux représentations qu'il donne de la croissance économique. Il pose ainsi des problèmes comptables : seul l'investissement net participe à la croissance. Or le PIB comptabilise l'amortissement, qui correspond à la consommation de capital fixe, il est très difficile d'établir un amortissement net. Il compte la production des APU par leurs coûts de production, ce qui ne permet pas d'évaluer le service rendu à la population.
Par ailleurs, il est difficile à utiliser pour les comparaisons internationales (par rapport aux taux de change, il ne mesure pas le travail domestique ni le travail non déclaré). Il ne mesure pas le transfert de ressources dans les pays en développement. Il ne prend pas en compte l'économie souterraine, qui représente par exemple 20% de l'économie italienne.
[...] La concurrence a pour effet de supprimer toutes les rentes, toutes les positions de domination. Néoclassique de Solow ➢ Solow, A contribution to the theory of economic growth (1956) - La croissance est stable et équilibrée, car les facteurs sont substituables et les prix sont flexibles : les mécanismes du marchés ajustent les prix et les facteurs - Si le progrès technique est nul, la population stable et le taux d'épargne constant ( croissance tend vers 0. Car production augmente moins vite que le capital ( coûts de l'amortissement grandissent et rognent le profit. [...]
[...] Incorpore du progrès technique ou non. Décisif pour la croissance. ➢ Keynes la théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie 1936 L'endettement étatique : l'endettement d'un état, grâce à l'effet de levier est une nécessité de développement. Il arrive que la demande effective ds le chapitre 3 (ensemble des dépenses d'investissement et de consommation que les agents décident d'effectuer), se situe au-dessous de ce qui serait nécessaire pour assurer le plein emploi, et cela arrive souvent lorsque l'épargne tend à excéder le montant des investissements prévus. [...]
[...] L'entreprise distribue des droits de propriété sur l'air aux citoyens, qui peuvent en disposer comme ils veulent : ils peuvent les garder ou alors les vendre à l'entreprise. Si les habitants refusent, ils ont le droit de continuer à respirer de l'air. Si les habitants pensent que le préjudice est très élevé alors ils vont ↑ le prix de l'air, plus cher peut être que s'il y avait eu une taxe qui aurait pu être soumise à des lobbys. Critiques du système : ← les entp s'entendent sur les prix. [...]
[...] Marx plus tard) qui ont des intérêts divergents : - Propriétaires fonciers : rente foncière - Travailleurs : salaire de subsistance - Capitalistes : profit tiré de l'exploitation du capital Ricardo émet une position critique : Augmentation de la production ( hausse des revenus des travailleurs ( hausse natalité car pas d'épargne possible ( hausse population active et hausse consommation en céréales ( rente foncière augmente et salaires des travailleurs aussi (indexés sur le prix des céréales) baisse de la part des profits dans l'activité économique effets de l'investissement annulés. Marx : croissance limitée dans l'économie capitaliste (cf fiche capitalisme). [...]
[...] La croissance depuis la Révolution Industrielle : divergences entre pays. Apparition d'une croissance durable et soutenue est un phénomène récent selon ASSELAIN « originalité essentielle » du XXIème siècle. Croissance du PIB en volume d'après les chiffres de Maddison Phases of Capitalist Development 1982 : o Royaume-Uni : entre 1820 et 1870 et entre 1870 et 1913 o France : entre 1820 et 1870 et entre 1870 et 1913 o Etats-Unis : entre 1820 et 1870 o Allemagne : entre 1820 et 1870 et entre 1870 et 1913. [...]
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