Il s'agit d'utiliser plus de facteurs de production (plus d'employés, plus d'heures...), ou plus de capital. On parle de croissance extensive quand elle est due à l'augmentation des facteurs de production, sans bouleversement des conditions de production (ne pas changer une machine pour une autre, plus performante) (...)
[...] Les nouveaux équipements permettent des économies d'échelle. Economie d'échelle : baisse des coûts unitaires de production (ou coûts moyens) quand in augmente la quantité produite. Ils permettent aussi une intensification du travail et des gains de production du travail. Constat : la hausse de l'intensité capitalistique a été la plus forte entre 83 et 90, période où on observe la plus forte augmentation de la productivité du travail. Les gains de productivité sont moindres dans les années 90, années de développement des Nouvelles Technologies de l'informatique et de la communication (NTIC). [...]
[...] Pour produire d'avantage, il faut utiliser d'avantage de facteurs de production, ou mieux les utiliser. croissance extensive : Il s'agit d'utiliser plus de facteurs de production (plus d'employés, plus d'heures ou plus de capital. On parle de croissance extensive quand elle est due à l'augmentation des facteurs de production, sans bouleversement des conditions de production (ne pas changer une machine pour une autre, plus performante). La croissance économique concerne les premières étapes dans un pays en situation de décollage, et cette croissance extensive est limitée. [...]
[...] Ces externalités évitent d'avoir des rendements décroissants. Rendements décroissants : pour une quantité de capital fixe donné, des augmentations successives de la quantité de travail entrainent des augmentations de moins en moins importantes de la production. On parle de rendements décroissants du travail / rendements décroissants du capital. Ex : l'acquisition d'une machine augmente moins la production que l'acquisition de la première machine. En effet, la productivité résulte de l'accumulation de capital, capital physique mais aussi capital humain. Capital humain : notion désignant les aptitudes intellectuelles (obtenues par l'éducation, la formation et l'apprentissage), et physiques des hommes dans une organisation. [...]
[...] C'est l'objectif proposé par la Banque Mondiale. Dans les pays développés, singulièrement en France, les ménages sont incités à recycler leurs déchets, à utiliser moins d'énergie (double vitraes, voitures qui rejettent moins de Co2, mise en place de taxes sur l'électroménager . Les entreprises sont contraintes d'adopter une démarche de RSE (responsabilité sociale et environnementale), surtout les grandes entreprises, au terme de la loi RNE (nouvelles régulations économiques) : elles doivent chaque année rédiger un rapport sur les conséquences sociales et environnementales de leur activité. [...]
[...] Quelle croissance pour demain ? La croissance zéro, voire la décroissance ? Au début des années 70, la croissance très forte a permis la hausse de la consommation, une prise de conscience sur des effets sur l'environnement : pollution, famines ce qui a amené les rédacteurs du rapport Meadows à préconiser une croissance zéro, c'est-à-dire à stabiliser le niveau de la production mais aussi celui de la population (publié en 72 pour le club de Rome). Certains ont même proposé la décroissance pour les pays occidentaux de taux de croissance annuel moyen pendant les 50 années à venir pour les pays développés). [...]
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