Le commerce international est nécessaire ; les échanges de la France se sont fortement accrus, pourquoi ? Les services ont pris une part croissante dans ces échanges. Les échanges français sont avant tout un commerce de proximité.
1) Le commerce international est nécessaire
Exportation : ce sont les sorties de produits nationaux à l'étranger (flux réel, monétaire)
Importation : ce sont les entrées de produits étrangers (flux réel, monétaire)
Commerce extérieur : ensemble des flux d'exportation et d'importation de marchandises entre un pays et le RDM (Reste Du Monde)
Commerce intra branche : correspond aux échanges internationaux de produits au sein d'une même branche de l'industrie ou de services.
Pourquoi échangeons-nous ?
1- Un pays ne dispose pas de tous les biens et services nécessaires à la satisfaction des besoins de ses habitants. Il doit alors importer ces biens et services qu'il ne produit pas. Pour financer ses importations, un pays doit donc se procurer des devises : il doit vendre (exporter) pour acheter (importer).
Devise : monnaie étrangère. Toute monnaie devient une devise quand elle est détenue par des non-résidents.
2- Nous importons ce que nos Entreprises ne pourraient produire qu'à un prix trop élevé.
3- Les 10e fournissent des débouchés aux Entreprises nationales
4- Le besoin de diversité des consommateurs
Depuis 1945, on se rapproche du libre-échange.
Libre-échange : doctrine éco. de la fin 18ème, 19ème s. Elle préconise la liberté de circulation de tous les B éco. Cela se traduit par une disparition progressive des entraves aux échanges : les droits de douane.
Adam SMITH : économiste classique libéral, 1er grand théoricien du Libre Echange : chaque pays doit se spécialiser dans le domaine dans lequel il est le meilleur : théorie de l'avantage absolu.
Inconvénient : des pays ne feraient rien
David RICARDO : économiste classique libéral, favorable au développement des échanges entre pays.
Théorie des avantages comparatifs : chaque pays a intérêt à se spécialiser dans la production pour laquelle il est comparativement le plus avantagé (...)
[...] Elle est qualifiée de brute car elle inclut l'amortissement. Taux d'épargne des Entreprises (en : (épargne brute / VA) x 100 On peut calculer ce taux pour les SF ou pour l'ensemble des Entreprises. Le partage salaire profit : une histoire conflictuelle Au cours des années 80, le taux de marge a nettement progressé : le partage salaire/profit a évolué au détriment des salariés, sous l'effet de la rigueur salariale et de la montée du chômage. La rigueur salariale s'explique par la politique menée en 1983 : Objectifs du gouvernement : - Stopper la dégradation du Commerce Extérieur, et donc freiner la conso des ménages - Ralentir la hausse des prix et donc l'inflation - Redresser l'investissement Les salaires ont donc été désindexés des prix et donc leur progression ralentie, les hausses des cotisations sociales ont été supportées par les salariés et non les Entreprises. [...]
[...] En économie ouverte, un pays qui a une balance des transactions courantes déficitaires a une insuffisance d'épargne (épargne aux besoins d'investissements). Il a donc une capacité de financement. Il peut investir ou placer cette épargne à l'étranger. [...]
[...] C'est la manière d'utiliser son revenu et son temps. Conditions de vie : niveau de vie + mode de vie B Quelles sont les limites de l'indicateur PIB ? Le PIB, un indicateur de richesse imparfait (indicateur quantitatif) Le PIB ne comptabilise que des valeurs monétaires 2 problèmes : - enregistrement de la production non marchande (au coût des facteurs) - neutralise les effets de l'inflation (enregistre l'évolution du PIB en volume) C'est un indicateur imparfait de la création de richesses car, par certains aspects, il surestime la création de richesses, et par d'autres, il la sous- estime : ( Le PIB surestime la création de richesses : Le PIB comptabilise certaines activités qui dégradent les conditions de vie de la population : production d'activités polluantes, accidents, production de cigarette, d'alcool, d'armes. [...]
[...] La production constitue le point de départ du circuit. Cette production donne lieu à une distribution de revenus qui sont dépensés en conso ou investissement. En économie ouverte : Le pôle production est modifié par les importations : des biens et services achetés au RDM s'ajoutent à la production de l'éco nationale. Le pôle dépense est modifié par les exportations : des biens et services vendus au RDM s'ajoutent à la dépense intérieure. L'épargne, une fuite dans le circuit ? [...]
[...] Ensemble des VA réalisées par les agents économiques résidents sur le territoire national quelque soit leur nationalité. Développement durable : développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre les capacités des générations futures à répondre aux leurs. * Définition de 1987 établit par le rapport BRUNTLAND * Appelle à la solidarité du présent, des générations futures (gaspillage) * Repose sur inégalité, gaspillage et pollution. IV Le partage et l'utilisation des richesses produites A Le partage de la VA : quels enjeux ? Rappel : le PIB mesure les richesses produites dans une économie. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture