Celui qui va rester dans l'histoire : Nikolaï Kondratieff (1926). Directeur dans les années 20 d'un institut de conjoncture, destitué en 1928 car ses thèses ne cadrent pas avec l'hypothèse de la crise finale du capitalisme. Il a été fusillé en 1938. Il remarque que les prix sur 40 à 60 ans connaissent des phases ascendantes et descendantes. Il en a tiré l'idée des cycles longs. S'il est resté dans l'histoire, il le doit à un travail de Schumpeter en 1939 « Business cycles » ...
[...] Cycles : dus aux adaptations (il ne faut pas perturber cela par l'État. Critiqué sur le fait que la monnaie disparaît du modèle, critiquée aussi pour les chocs technologiques (brutal). Nombreux pensent que c'est progressif. Plosser : choc technologique ( (productivité ( (croissance. La récession peut être liée à un déclin technologique. Début 80's (estimer qu'il y avait déclin technologique. Problème : rien ne montre qu'il y a déclin du progrès technique. Conception du chômage : Normalement pour les TCR le chômage = arbitrage entre loisir et travail (volontaire . [...]
[...] Restructurations industrielles : il faut du profit. Après on a la période 86-88 : première cohabitation Chirac devient premier ministre, politiques libérales, privatisation déréglementation. On retrouve ce libéralisme au niveau international : ( le commerce volonté de développer le libre-échange : fin du Tokyo-round : baisse des droits de douane, accord sur les obstacles non tarifaires, normes : ouverture de l'Uruguay-round, on aborde la question des services, de l'agriculture : accord de Marrakech qui prévoit l'OMC. Tout cela s'accompagne de progrès au niveau régional : -1992 : création de l'ALENA. [...]
[...] Interdépendance entre réel et monétaire. La crise est salutaire ( assainissement de l'économie. Oeuvres importantes même s'il n'est pas considéré comme un théoricien de l'économie. Ces travaux vont être approfondis dans deux directions : ( accélérateur : A. AFTALION (1874 –1956). La relation entre la demande en biens de consommation et la demande en biens de production à travers le problème de l'investissement. Lorsque ( D (conso) ( I importants ( ( plus que proportionnelle des biens de production. Pourquoi ? [...]
[...] Il y a eu un blocage du mode de régulation concurrentielle, parce que dans les 1920's on a une production de masse qui se développe, une accumulation intensive du capital, alors que les salaires ne suivent pas et la consommation non plus. Les régulationistes accompagnent cette vision globale d'une analyse du problème financier : en Grande-Bretagne elle n'assure plus la régulation du système et les États-Unis ne sont pas prêts à le faire. Enfin : il faut rajouter que c'est une période où l'on assiste à un développement du crédit (monnaie scripturale). Le système bancaire est mal contrôlé par les banques centrales. -les néo-libéraux : insiste sur les problèmes du système financier. [...]
[...] Ce développement tire la production, crée des débouchés et des besoins nouveaux, cela révolutionne aussi l'économie traditionnelle, on ne travaille plus de la même façon. ( ( Productivité du travail. (La nouvelle économie. On a cru que c'était le début d'une phase de longue croissance. Cette croissance touche l'Europe mais avec décalage. -les TIC sont moins développés, d'où un effet plus tardif. Mais surtout, en Europe on a décidé de mener une politique monétaire et budgétaire rigoureuse car à partir de 1991 on est dans le processus de Maastricht qui crée l'UE et décidé la création d'une monnaie, l'euro avec une banque centrale. [...]
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