Karl Marx, pouvoir du marché, marché concurrentiel, prix plafond, prix plancher, quota, taxe, consommateur, producteur, offre, demande, analyse économique, économie politique, Keynes, Garry Becker, impérialisme, théorie néoclassique, microéconomie, macroéconomie, libéralisme économique, communisme, inflation, capitalisme rhénan, 5 modèles de capitalisme, élasticité, barrières à l'entrée
L'économie est une discipline qui a évolué dans le temps, c'est à présent une discipline scientifique.
Aujourd'hui, les économistes sont tiraillés entre deux logiques ; d'un côté, ceux qui cherchent à faire de l'économie une véritable science sociale avec les questions de méthodologie, de l'autre, ceux qui restent dans une vision de science dure, comme la physique.
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Les marxistes pensent que le capitalisme est un mode de production se caractérisant par le salariat. Pour eux il y a une subdivision de la population, les capitalistes et les travailleurs. Et ces deux classes doivent coopérer pour produire. Les travailleurs louent leur force de travail contre rémunération. Pour Marx la coopération est asymétrique, inégale et les capitalistes dominent. Le salariat peut être vu comme l'expression du rapport de domination des capitalistes ; pour les marxistes le capitalisme est voué à s'autodétruire, dès lors que la production va devenir trop importante pour être achetée par le travailleur.
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Les barrières à l'entrée sont des avantages (naturelles ou construites) que détiennent les entreprises en place sur un marché sur les entrants potentiels. Ce sont tous les obstacles à l'entrée de nouvelles entreprises sur un marché. La violation de la condition d'atomicité est souvent causée par l'existence de barrières à l'entrée.
[...] Après intervention, ce prix a augmenté de 12,50?. Désormais, le producteur qui vendra le moins cher vendra son bien à 17,50?. Au prix d'équilibre initial, il y aura une pénurie. Il faut donc que le prix augmente. Désormais, le prix d'équilibre sera 25? pour 1000 unités. Dans cet exemple, les consommateurs payent 25? mais les producteurs ne reçoivent que 12,50? [...]
[...] On va plutôt s'intéresser au marché dont une partie des ressources lui échappe. Il y a tout un ensemble d'activités non marchandes. Le développement de cette économie non marchande fait que la définition de l'économie comme étant la science des échanges marchands devient obsolète. On arrive donc à la définition la plus large et actuelle de l'économie qui émerge à partir de la fin de la 1ère Guerre mondiale : « L'économie est la science des choix efficaces ». Elle est fondée sur les besoins des individus et les moyens de les satisfaire. [...]
[...] Par exemple des machines. Capitalisme fondé sur l'objectif de produire toujours plus en accumulant toujours plus de moyen de production, fonde sur productivisme : accroitre la richesse en accroissant la production. Avec le recul on voit que capitalisme est une idée ancienne. S'étant développé en 4 grandes étapes. Au sortir du moyen âge (renaissance) capitalisme commercial. En effet, les grandes découvertes, comme le new monde, on permit l'ouverture des premières routes internationales, notamment maritimes et à partir du XVI des idées religieuses nouvelles(protestantisme) a permis de lancer la dynamique de l'enrichissement et donc de l'accumulation de capital. [...]
[...] A long terme, le prix d'équilibre est donc égal au cout marginal. Sur un marché non concurrentiel, les entreprises ont un pouvoir de marché car (violation des conditions de CPP) : - leurs choix de production affectent considérablement les quantités disponibles sur le marché. - leurs produits se différencient de ceux vendus par la concurrence - des barrières à l'entrée les protègent de l'arrivée de nouveau concurrents - l'opacité du marché empêche le consommateur de faire le meilleur choix Elles peuvent donc durablement élever le prix au-dessus du cout marginal. [...]
[...] C'est une politique de soutien au consommateur. Si les autorités publiques n'interviennent pas, le prix sera de 20?. Si les autorités interviennent, on va désiquilibrer le marché. La vente des biens devient moins intéressente pour les producteurs et ils proposeront moins de biens tandis que les consommateurs voudront acheter beaucoup plus. Cela va conduire à une pénurie artifiielle sur ce marché. Le nouveau prix sera fixé au dessous du prix d'équilibre. Les producteurs sont perdants, ils perdent une grande partie de leur surplus (hachures) : Une partie des consommateurs va réaliser un gain mais il y aussi des perdants. [...]
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