Le revenu (salaire) constitue l'ensemble des sommes perçues par un ménage durant une période donnée.
On appelle ménage, la ou les personnes occupant une même résidence principale.
Les ménages peuvent consommer mais également produire ; exemple : production fruits, légumes (entreprise individuelle).
Le pouvoir d'achat est la quantité de biens et services que l'on peut se procurer avec une somme donnée de monnaie. Quand on parle de pouvoir d'achat, on résonne en euros constants ou en euros réels (en prenant compte de la hausse des prix).
Le revenu se partage entre consommation et épargne, deux variables majeures du fonctionnement de l'économie (...)
[...] *augmentation de l'activité féminine. Conséquences : hausse du revenu des ménages concernés mais également modification du mode de vie. *chômage élevé peut produire un sentiment d'incertitude sur l'avenir qui peut se répercuter sur le niveau et la structure de la consommation. *le niveau des diplômes peut impliquer des dépenses culturelles (plus on fait d'études, plus on a un certain type de dépenses). Le facteur de l'innovation Les vagues successives d'innovation se traduisent par l'apparition de nouveaux produits qui jouent un rôle essentiel dans l'évolution de notre mode de consommation. [...]
[...] SECTION 1 : l'arbitrage entre consommation et épargne. Les déterminants selon l'analyse néoclassique. Il existe 4 déterminants dans l'analyse néoclassique. * le taux d'intérêt * la hausse des prix *le cycle de vie *le revenu permanent le taux d'intérêt La propension à épargner c'est-à-dire l'augmentation d'épargne induite par la hausse du revenu est considérée comme une fonction croissante du taux d'intérêt. Donc plus le taux d'intérêt augmente et plus on épargne. Par ailleurs la hausse du taux d'intérêt entraîne une augmentation de la rémunération des placements. [...]
[...] La propension à épargner d'un ménage évolue dans le temps. Au début de sa vie, le ménage dispose d'un revenu modeste mais il doit s'équiper de sorte qu'il s'endette (épargne négative). A l'âge mûr le ménage rembourse ses emprunts et il constitue son patrimoine en prévision de sa vieillesse. Enfin au cours de sa retraite, le ménage consomme ce qu'il à amasser précédemment. Dans le cas d'un système de retraite par capitalisation, les pensions perçues ne sont que la contrepartie des cotisations versées durant l'activité. [...]
[...] incompressible) Pour Keynes, l'S peut être soit investie sous forme de titres, soit être thésaurisée (on conserve l'S sous forme liquide). Selon Keynes, les agents renoncent à convertir la totalité de leur S en placement, afin d'en garder une partie sous forme de monnaie. On appelle la fonction de liquidité le désir de détenir une S liquide de la part des ménages. En outre, le taux d'intérêt versé sur l'S placée en titre représente la récompense de la renonciation à la liquidité. La théorie Keynésienne analyse les motifs pour lesquels les agents économiques manifestent une préférence pour la liquidité. [...]
[...] Quand on parle de pouvoir d'achat, on résonne en euros constants ou en euros réels (en prenant compte de la hausse des prix). Le revenu se partage entre consommation et épargne, deux variables majeures du fonctionnement de l'économie. L'épargne désigne la fraction du revenu, qui n'est pas consommé. Pour les ménages S = revenu disponible (revenu diminué des impôts et les cotisations sociales) diminué de la dépense de consommation. On mesure S des ménages par le taux d'épargne qui est exprimé en % du revenu disponible. [...]
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