Première moitié du 19ème siècle : après la première révolution industrielle, le capitalisme industriel est maintenant déjà répandu et il y a les premières crises d'origine extérieure - production ...
Deuxième moitié du 19ème siècle : apparaissent de vraies crises financières = crack financiers qui sont en fait des crises typiques. Ce sont des crises endogènes du capitalisme (intérieures). C'est en fait un système qui crée de la croissance mais aussi des crises = il y a donc des critiques du système possibles.
Le Royaume-Uni se fait rattraper par l'Allemagne, la France mais aussi par les Etats-Unis ou encore le Japon (...)
[...] Cela débouche sur les luttes ouvrières : nouveau point de vue politique à partir de 1870 environ, lutte de classes sociales. Sur le plan politique il y a une évolution très rapide qui se fait sur quelques années après la prise de conscience. Section 2 : Du socialisme utopique au projet de socialisme scientifique Les utopies socialistes Avant : émergence d'une utopie libérale : on imagine une société meilleure. A partir des années 1830 : utopies égalitaristes = tout le monde est l'égal de tout le monde. Quelques noms : St Simon, Robert Owen, P-J Proudhon. [...]
[...] Valeur d'un bien = c + v + s c = capital (machines, bâtiments ) v = coût de la force de travail s = plus value c représente le travail mort v et s représentent le travail vivant En ce qui concerne les prix : Valeur = prix de production c = prix des moyens de production v = salaires s = profits Taux de plus-value : Ts = s / v Taux de profit : Tп = s / + = / / / + = Ts / (ß + ß = / = composition organique du capital. Pour expliquer la situation, Marx a développé des idées : Sous l'effet de la concurrence entre capitalistes : ß (progrès technique) ( = Le développement des forces productives est devenu contradictoire. Ce sont les entreprises qui privilégient le travail (capital variable) au capital (capital de production) qui dégage le plus de profit. Taux moyen de profit on fait juste une moyenne) = 13,75% Prix de production du bien : c + profit moyen = 113,75. [...]
[...] Et le capitalisme ne tient que sur la capacité des capitalistes à voler aux travailleurs le fruit de leur travail. - . et sa résolution par Marx Ce que vend le travailleur n'est pas son travail (le produit de son travail) mais sa force de travail (la cause du produit de son travail) : ce n'est pas le résultat, mais la capacité à créer de la valeur Le profit naît de ce que, précisément, la valeur du travail est supérieure à la valeur de la force de travail (la force de travail, marchandise particulière Il est la contrepartie d'une plus value produite par le sur-travail - . [...]
[...] Cela conduit à une radicalisation du point de vue - ce que Marx appelle le fétichisme de la marchandise : aucun producteur ne voit dans le prix qui s'impose sur le marché le reflet de son propre travail. . et confère une naturalité et une extériorité à ce prix - l'aliénation marchande les individus sont libres avant l'échange mais ils sont logiquement aliénés par l'échange : pour les classiques la société est une société de marché = le premier lien social est un lien marchand. [...]
[...] Essor des crises du capitalisme : les hétérodoxies socialistes au temps des classiques Section 1 : Les éléments de contexte Le contexte économique : l'arrivée à maturité du capitalisme industriel. Première moitié du 19ème siècle : après la première révolution industrielle, le capitalisme industriel est maintenant déjà répandu et il y a les premières crises d'origine extérieure ( production . Deuxième moitié du 19ème siècle : apparaissent de vraies crises financières = crack financiers qui sont en fait des crises typiques. [...]
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