Pensée économique, économie, Adam Smith, Thomas Robert Malthus, David Ricardo, Jean Baptiste Say, Marx Keynes, néo-classiques, néo-libéralisme
À la différence d'autres champs disciplinaires, il y a un pluralisme dans les approches des différents économistes : c'est un paradigme (plusieurs courants de pensée). Ces courants se concurrencent, se contredisent au même moment sans pouvoir dire si l'un est plus ou moins vrai que l'autre.
Le paradigme libéral est ensemble de théories qui consiste à penser que l'économie fonctionne bien grâce au marché et à la concurrence.
[...] Donc finalement on va trouver 70euros de demande et donc de consommation. Cette loi va être critiquée par Keynes. Il estime qu'au contraire le véritable problème économique c'est celui de la demande car la loi de Say n'est pas vérifiée selon lui. La monnaie peut être détenue pour elle-même= il remet en cause la conception de la monnaie de Say qui était directement utilisée. Pour Keynes la monnaie compte, elle peut être désirée pour elle meme, elle peut être conservée sans donner lieu forcement a un achat d'un montant équivalent. [...]
[...] Si chaque individu augmente à 15% exanté, on va baisser la part de la consommation, expos la consommation des ménages va baisser autant par conséquent les entreprises vont baisser de leur production de et le niveau de l'emploi va baisser et les revenus aussi. Le revenu national va baisser et si le revenu national baisse, on peut prendre une part+ importante mais le revenu ayant baissé, le revenu global de l'épargne n'aura pas augmenté. La théorie des néo-classiques est contestable. Margaret Thatcher : « There is no society ». [...]
[...] Keynes différencie le risque de la certitude. Le risque c'est lorsqu'on est capable d'affecter une probabilité à l'apparition d'un événement. Le problème c'est que dans l'économie c'est la certitude qui compte. On est complètement incapables de prédire 22 l'occurence d'une crise. Dans ce contexte la c'est que l'investissement relève de la psychologie. Si tout va bien les anticipations vont vous pousser à investir. -Ce qui rend l'investissement insuffisant ce sont des erreurs commises dans le maniement des politiques monétaires par exemple lorsque par crainte de l'inflation les pouvoirs publics decident d'augmenter les taux d'intérêt, en contrepartie les entreprises ont beaucoup plus de mal a investir parce que le cout de l'emprunt augmente. [...]
[...] Dernière phrase: « les prolétaires de tous les pays unissez vous ». Marx économiste Il est philosophe de formation mais il va être amené a s'intéresser a l'économie parce que pour lui la philosophie reste cantonnée au monde des idées mais ce qui meut le monde c'est ce qui se passe a l'intérieur de l'économie. Marx dans sa théorie considère que l'économie est capable d'expliquer l'ensemble des autres phénomènes sociaux (religieux, politiques, l'Etat.) Il donne une place centrale a l'économie. [...]
[...] Ce passage mutantiste se retrouve aussi dans les sociétés occidentales a la fin du 20eme siècle. Par exemple les USA dans les années 80 les politiques d'aide aux pauvres mises en place vont être stigmatisées et vont être totalement laminées sous prétexte de 8 limiter le déficit public alors qu'au même moment on limite l'impôt des plus riches. Depuis il y a une explosion de la délinquance ce qui va amener a la politique de tolérance 0 =qui vole un oeuf vole un boeuf donc l'idée est de dire que la moindre infraction doit être immédiatement sanctionnée fortement. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture