Ce document est un cours complet sur l'environnement économique, construit en trois étapes : description du circuit économique et de ses acteurs, approche de la théorie microéconomique et de la théorie macroéconomique. Extrait de ce cours : "C'est l'INSEE qui gère la comptabilité nationale. La comptabilité nationale est une agrégation des grandeurs individuelles
(microéconomiques). Elle répond à plusieurs objectifs :
- évaluer la valeur des opérations réalisées par les différents agents
économiques ;
- fournir le cadre de l'évaluation des décisions économiques ;
- permettre des comparaisons internationales ou sectorielles.
Le circuit économique est un moteur à 3 temps :
1. Production (biens et services).
2. Revenus (contrepartie financière).
3. Consommation – Investissement (dépense des revenus en biens et services).
Il existe quelques perturbations extérieures :
- sur les revenus par exemple : redistribution d'impôts sous forme d'allocations, de retraites … Mais aussi des financements par des banques étrangères … Mais aussi des personnes et entreprises françaises qui travaillent à l'étranger et réciproquement.
- sur la Production et la consommation par le biais des importations et exportations.
Il est important de distinguer le critère géographique de celui de nationalité. Ainsi, on parlera de PIB : pour Produit Intérieur Brut. Il désigne la valeur ajoutée de tous les agents sur le territoire français (français ou étranger), donc critère géographique. On parle d'intérieur.
Pour un critère de nationalité, on parle de national. Ainsi pour le PNB Produit National Brut.
Il existe 5 secteurs institutionnels :
1. les ménages et EI (professions libérales …).
2. les sociétés non financières (SA, SARL, …).
3. les sociétés financières (banques et assurances …). Elles transforment la monnaie.
4. les administrations publiques.
5. les institutions sans but lucratif (associations …).
6. le reste du monde (secteur fictif).
On distingue trois catégories d'opérations économiques :
- sur les biens (produits matériels) et services (marchands ou non marchands comme les fonctionnaires) : tableau des E/S
- de répartition. Elles décrivent la façon dont sont distribués les revenus issus de la production et les opérations de redistributions
(retraites, allocations, …).
- financières. Elles décrivent les moyens de paiement ainsi que l'évolution des dettes et créances.
La production est dite marchande si elle est vendue à un prix couvrant au moins 50% de son coût. Elle est non marchande sinon ou si elle est non vendue (par exemple, le service rendu par un fonctionnaire est non marchand). Reste aussi le travail domestique, bénévole ou « au noir ».
La comptabilité nationale évalue avec les prix les plus pertinents :
- production au prix de base, i.e. au prix sortie usine et HT.
- la consommation et l'investissement au prix du marché et TTC, incluant les coûts de transports, de distribution, etc."
[...] Ici de ce qui fait que les emplois ne progressent en relatif que de C'est relativement peu. Effet indirect : grosse amélioration de la productivité : En effet, la diminution de la durée du travail a obligé les entreprises à se réorganiser. Du coup la productivité a augmenté de manière très importante, annulant ainsi l'effet escompté d'augmenter les emplois. Conclusions : la diminution du temps de travail n'a presque pas amélioré le marché de l'emploi. Types de chômages Rappelons que seul le modèle KEYNESIEN admet l'existence du chômage. [...]
[...] figé les taux de changes des monnaies européennes. Remarque : en dehors d'un SMI (système flottant), on ne parle pas de REEVALUATION ou de DEVALUATION (n'a pas de sens), on parle d'appréciation ou de dépréciation d'une monnaie / une autre. Exemple : entre $ et Q17 Dévaluation pourquoi et comment ? OBJECTIFS : Dévaluer consiste à repositionner sa monnaie par rapport à la monnaie de référence et ainsi de rester dans un système monétaire encadré (de type SMI et SME). [...]
[...] C'est la demande mais en intégrant les contraintes. la TRANSACTION. Offre (producteur) Demande effective Demande (consommateurs) prix Cas 1 : D>O Cas 2 : D>O On part du principe qu'on ne force pas un agent à faire un échange. Donc cas 1 : la demande effective va donc diminuer jusqu'à égaler l'offre. Donc dans le cas c'est l'offre effective qui s'adapte à la demande notionnelle. On pourrait penser que la courbe des échanges effectifs soit celle en rouge sur le schéma, en fait la réalité montre que la courbe est en dessous, il y a moins d'échanges (courbe en bleu). [...]
[...] Donc le taux de change était facile à calculer. De 1914 à 1944 Ce fut plus compliqué car le ROYAUME UNI dominait les autres pays. La LIVRE STERLING était la référence. En 1944 Les USA et les alliés ont mené des réflexions et créé des organismes internationaux pour cadrer les économies et éviter les désagréments vécus par la fluctuation importante des taux de change. Lors des accords de BRETTON WOODS, Ils ont mis en place le SMI (Système Monétaire International). [...]
[...] o la consommation intermédiaire CI des entreprises, ce sont des biens fongibles (utilisation dans le processus de production, ou dans le processus de fonctionnement par ex du papier pour facturer). Un grossiste va stocker des produits finis, mais les cartons utilisés ensuite pour le conditionnement nouveau sont des CI. la formation brute de capital fixe FBCF : investissements des entreprises, logement des ménages . Ce sont des biens non fongibles, ils ne disparaissent pas. o la variation des stocks DS (déstockage). o bijoux et œuvres d'art. Valeur Ajoutée et PIB = Y La production n'est pas additive au niveau national. La Valeur Ajoutée est additive, on obtient le PIB. [...]
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