Théorie classique, théorie néoclassique, valeur travai, valeur cout, état stationnaire, croissance, Ricardo, échange international, equlibre
Si on démarre l'analyse économique au 19ème siècle, cela ne veut pas dire que l'on ne s'est jamais intéressé à l'économie avant.
A la renaissance, on a un courant économique assez important qui est le mercantilisme (1450-1750). Ce courant de pensée défend une idée centrale, c'est celle qui consiste à dire que la richesse d'un pays se mesure à son stock en terme de métaux précieux ( or et argent ). Ce courant de pensée s'est développé en Europe mais il est utilisé différemment, par exemple en Angleterre il s'appelait le commercialisme ( but de la marine marchande ( puissante à l'époque) était de faire du commerce afin que les métaux précieux afflux vers l'Angleterre).
[...] - Ensuite; on peut aussi augmenter la productivité dans le secteur de l'agriculture, plus précisément augmenter la productivité non pas dans les terrains les plus fertiles mais dans les terrains les moins fertiles afin de faire baisser le prix de vente des produits agricoles. Cette baisse du prix de vente des produits agricoles permettra de faire baisser la rente voir même les salaires des personnes employées dans l'agriculture pour augmenter les profits. On aura ainsi augmenter l'éléments permettant de dynamiser l'activité économique. [...]
[...] Approche classique de l'analyse économique. Si on démarre l'analyse économique au 19ème siècle, cela ne veut pas dire que l'on ne s'est jamais intéressé à l'économie avant. A la renaissance, on a un courant économique assez important qui est le mercantilisme (1450-1750). Ce courant de pensée défend une idée centrale, c'est celle qui consiste à dire que la richesse d'un pays se mesure à son stock en terme de métaux précieux ( or et argent Ce courant de pensée s'est développé en Europe mais il est utilisé différemment, par exemple en Angleterre il s'appelait le commercialisme ( but de la marine marchande ( puissante à l'époque) était de faire du commerce afin que les métaux précieux afflux vers l'Angleterre). [...]
[...] IV) Croissance, échange international et équilibre ) Echange international et croissance économique. L'objectif de ce paragraphe est de montrer qu'avec Ricardo des pays qui se spécialisent dans la production de biens pour lesquels ils ont un avantage en terme de coût finissent par tirer des avantages mutuels en terme d'enrichissement. Pour comprendre cette spécialisation, on va considérer l'exemple de Ricardo avec l'Angleterre et le Portugal qui produisent des draps et du vin. - ces chiffres sont des coûts absolu et si on considère ces coûts absolu nous remarquons que l'Angleterre est la mieux placée pour se spécialiser et donc pas de possibilité d‘enrichissement quand on fait du commerce. [...]
[...] Nous venons de réaliser ce qui coûte relativement moins cher dans chaque pays. Dans quels biens chaque pays va-t-il se spécialiser La réponse à cette question peut être donner par la première loi de Ricardo, selon cette loi chaque pays a intérêt à se spécialiser dans le bien pour lequel il a un moindre coût relatif. Dans l'exemple donné, en vertu de cette loi on peut dire que l'Angleterre a intérêt à se spécialiser dans le drap et le Portugal dans le vin. [...]
[...] L'état stationnaire est localisé au point d'intersection entre la droite des salaires et la courbe représentant la richesse. A l'époque de Ricardo, il était envisagé de transformer la rente en profit. Dans la logique ricardienne, l'état stationnaire exprime des profit nul, on arrive donc à une situation ou le système se reproduit à l'identique. A l'époque de Ricardo, il était envisagé de repousser l'état stationnaire, en proposant dans réformes agraires pour transformer la rente en profit afin de faire reculer l'état stationnaire. [...]
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