capitalisme, révolution industrielle, Marx, Adam Smith, Keynes, économie, mode de production, cours d'économie, économie politique, science économique, philosophie libérale, division de travail, main invisible
La révolution industrielle a plusieurs conséquences :
- Conséquences économiques puisque la répartition de la population active dans les différents secteurs est modifiée, l'industrie représente 22 %, l'agriculture 50 % et le tertiaire 28 % ( correspond aux activités de gestion dans les entreprises, et un développement des domestiques.
La croissance économique est extrêmement importante, en un siècle multiplication 1,4.
- Conséquences sociales puisqu'on assiste à la fois à une croissance démographique très importante et a une forte urbanisation, le cas de l'Angleterre, la population est multiplié par 3 en 1 siècle, au milieu du 19e siècle la moitié des habitants vivent déjà en ville. Une
[...] Lorsque le capital organique augmente le taux de profit diminue. Le mode production capitalisme est basé sur la mécanisation parce que la concurrence ainsi que les entreprises a introduire du progrès technique par le biais des machines et par ailleurs les luttes sociales vont également inciter les entreprises à remplacer le travail par des machines : mécanisation continue. Cette mécanisation a 3 conséquences : - l'homme devient un simple auxiliaire de la machine, il perd son autonomie, sa liberté, il devient aliéné - dans les entreprises capitalisme du fait de la substitution du travail par les machines on assiste à une diminution du travail vivant par rapport au travail mort ( machine ) = augmentation de la composition organique du capital - seul le travail, ou capital variable, travail vivant, créer de la plus- value donc le taux de plus-value lui va rester stable Cette baisse est inéluctable, il y a des facteurs qui peuvent composer la baisse du taux de profit notamment la baisse de la valeur unitaire des machines ( capital constant ) en réalisant du progrès technique dans le secteur des machines. [...]
[...] Cette régulation se fait de façon automatique : main invisible • Un état minimal : De ce fait l'état a un rôle extrêmement réduit puisqu'il va remplir les fonctions régaliennes et Smith considère que la confrontation des intérêts individuels ne peut avoir des effets favorables que si l'état n'intervient pas en matière de fixation des prix ( travail, produit ) et que si les producteurs peuvent entrer librement dans la totalité des marchés. Smith considère également que une des fonctions de l'état est de créer et d'entretenir des établissements publics qui facilitent le commerce ( les échanges ) et également l'éducation du peuple. Le financement des ces infra- structures doit se faire par le prélèvement de taxes donc obligatoire. [...]
[...] Les agents recherchent leur propre intérêt, les producteurs vont spontanément arrêter la production du produit qui baisse et produire le produits ou le prix augmente. Par conséquent vas se produire une baisse de l'offre du produit A mais une augmentation du produit b. La croissance s'auto entretient, pas de prise, pas de déséquilibre. • Monnaie et épargne Pour lui la monnaie est un voile, ce qui signifie que cette monnaie n'est qu'un moyen de consommation, elle n'est désirée par son agent que parce qu'elle joue n rôle intermédiaire sur la croissance, et elle n'est jamais demandé en tant que bien propres pour elle-même. [...]
[...] Cette armée de réserve de travailleur est utile au capitalisme dans le mesure où l'accumulation ne se produit pas au même rythme dans toutes les branches et cette armée de réserve peut se déplacer d'une branche à une autre en fonction des besoins de l'activité. La population ouvrière s'appauvrit de plus en plus qui se manifeste par la misère et des conditions de vie de plus en plus difficile, on aura une déconnexion entre la production qui augmente de façon continue puisque le progrès technique qui augmente de façon continue alors qu'en même temps du fait de la pauvreté des travailleurs les débouchés de cette production se réduise. Par conséquent, le capitalisme est voué à connaître des crises de sur- production. [...]
[...] Le capitalisme caractérisé par une croissance sans fin des richesses devra connaitre un enfin inévitable. • Une fin inéluctable du capitalisme La réponse est mitigée, d'autres classiques comme Mill, lorsqu'on arrive à ce stade de croissance nul, la société humaine va se consacrer à d'autre types d'activités, notamment la culture, les loisirs, tout ce qui inclus la cohésion sociale II- Marx : un discours critique sur le capitalisme la fin du monde de production Marx considère que les crises ont un double caractère car elles découlent de la sur-production des biens de consommation et d'une sur-accumulation du capital. [...]
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