analyse économique, pensée économique, droit naturel moderne, Hobbes, Locke, Hume, David Ricardo
L'économie comme discipline scientifique a une histoire tout comme la physique ! Si l'on admet que la connaissance économique est cumulative alors les approches anciennes devraient être dépassées par les approches plus récentes. Dans ce cas, l'intérêt pour l'histoire de la pensée économique ne peut être qu'historique et intellectuel. Cependant, on peut admettre qu'en science sociale la question de l'évolution des connaissances est plus délicate et que le progrès des connaissances n'est pas linéaire. Différentes raisons expliquent cette évolution chaotique : le mécanisme de la preuve en science sociale est plus délicat relativement aux sciences dures telles que les maths. Et ce même si ces tendances utilisent de plus en plus un cadre formel d'analyse. La répétition de situations identiques est difficile, voire impossible, puisque l'économie a pour objet des agents dotés d'un intellect intégrant les conditions d'une expérience qui est toujours apte de ce fait à prendre en compte et donc à modifier les conditions initiales. De plus la pensée économique dépend de contexte précis non renouvelable par l'expérience, c'est-à-dire que tout discours économique est forcément marqué par un contexte en historique et institutionnel. Si la pensée économique est dépendante d'un contexte, sa lecture et son interprétation le sont également.
[...] Cependant ces conventions ne sont que l'extension du droit naturel. Le passage de l'état de solitude à l'état de multitude ne change rien de fondamental. On à un glissement de l'état de solitude à un etat ou on va avoir des interdépendances qui vont apparaitre entre les individus. Mais ce passage de l'un à l'autre se fait dans une certaine continuité, il n'y à pas de transition. Il n'y à donc pas lieu de passer un quelconque pact ou de tisser un certain état social. [...]
[...] La durée de vie du capital employé diffère ce qui explique l'impact sur la valeur d'échange –Selon Ricardo, comment évolue la valeur des marchandises dont la production exige beaucoup de capital fixe si les salaires augmente en dépend des profits ? La valeur d'échanges sera supérieure afin d'assurer pour une même durée une égale rentabilité Ricardo considère-t-il que l'impact des changements dans la répartition salaire-profit sur la valeur relative des marchandises remet considérablement en cause sa théorie de la valeur travail ? Pourquoi ? Il ne remet pas en cause sa théorie de la valeur travail . II/ Répartition, accumulation du capital et évolution du capitalisme A. La rente 1. -Qu'est-ce que la rente ? [...]
[...] Le prix du blé augmente alors car il faut plus de travail sur les terres les moins fertiles pour obtenir dans rendements équivalent aux cultures des terres les plus fertiles -Où apparait la rente ? Pourquoi peut-on la qualifiée de différentielle ? La rente apparait par l'exploitation des terres du rentier. On peut la qualifiée de différentielle quand elle provient du rendement différent des ressources (certaines terres offrent de meilleurs rendements que d'autres) signifie le blé n'est pas cher parce qu'on paye une rente mais on paye une rente parce que le blé est cher. ? La rente est-elle déterminante pour le prix ? [...]
[...] Elles tournent autour de l'agriculture : 1 ) Ceux qui produise la richesse ( les fermiers ) 2 ) L'ensemble des proprietaires des terres 3 ) Les autres individus : la classe stérile ( qui ne produit pas de richesse Chapitre 8 Adam SMITH DE LA SYMPATHIE A L'ECHANGE SECTION 1 La théorie du revirement La contribution majeure d'Adam SMITH ( 1723-1790) tiens en deux livres : La Théorie des Sentiments Moraux ( 1749 ) La RDN ( 1776 ) Sa première activité fut d'enseigner pendant 30 ans la philosophie morale à l'université de Glasgow. En matière de philosophie, Adam SMITH suit les traces de D.HUME . SMITH nous intéresse ici pour la part qu'il a pris dans le détournement de la philosophie politique et morale. [...]
[...] La pensée de Hobbes est inédite, il centre son analyse sur certains éléments essentiel de l'etre humain : - Il s'agit d'un être de désir et ce désir est une force par laquelle nous tendons à rechercher ce qui contribue à la préservation de notre être. - L'individus est également un être de parole qui le différencie d'un animal , c'est donc un être capable de mener des raisonnements : par la parole les individus peuvent signifier mutuellement leurs pensées faisant d'eux des êtres pour lesquels les idées de justice et de lois prennent un sens. L'individus est un être libre de penser et d'agir selon sa volonté. [...]
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