Analyse économique de l'entreprise, modèle japonais, théorie des coûts de transaction, théorie des droits de propriété, théorie de l'agence, RSE, gouvernement d'entreprise
La firme adopte un point de vue technologique et économique. La firme dans la théorie néoclassique est représentée par une fonction de production. K et L sont des facteurs substituables. K et L sont complémentaires, par exemple sur une plate forme téléphonique pour 10 téléphones et 15 travailleurs il n'y a que 10 postes disponibles. Première critique : cette fonction de production représente la frontière efficiente de production, c'est-à-dire la technologie qui permet de créer la quantité d'output la plus élevée étant donné les quantités de facteurs de production utilisées.
[...] Plus les contrats seront incomplets plus les droits de contrôle résiduel seront importants. Pourquoi s'est-elle imposée librement malgré le fait qu'elle pose des problèmes à la théorie des droits de propriétés? Car elle présente 2 avantages: elle permet de bénéficier des gains de la spécialisation à grande échelle elle permet de surveiller des équipes de grandes tailles Alchian 1988« La supposé ''séparation'' permet une ''spécialisation'' productive efficace, en utilisant les droits de propriété comme méthode de contrôle et de coordination. [...]
[...] Il n'y a pas d'opposition entre la firme et le marché. On peut donc coordonner l'intérieur et l'extérieur de la firme. Pour la théorie positive de l'agence les formes existantes de contrats, dès lors qu'elles ont été librement choisies, témoignent d'un processus de sélection naturelle, elles sont donc considérées comme les plus efficiente. Critiques de la théorie de l'agence: les firmes ne sont pas tant des individus que des groupes qui s'affrontent, c'est plutôt un lieu de gestion des conflits entre groupes d'intérêt les salariés dès lors qu'ils ne disposent pour vivre que de leur force de travail n'ont pas la même liberté de contracter que par exemple les actionnaires qui arbitrent sur divers placements, sur divers supports. [...]
[...] Ils ont certes une activité plus risquée mais elle est aussi mieux payée étant donné que les plans de rémunérations sont de plus en plus fondés sur les cours boursiers, cela permet ainsi d'aligner les avantages des gestionnaires sur celui des actionnaires. Ce système provoque également un très fort creusement des inégalités dans les entreprises (différence entre le revenu moyen des présidents-directeurs et celui des ouvriers). Puis début des années 1990 les opérations hostiles se réduisent considérablement aux Etats-Unis avec l'adoption d'une législation freinant ce type de prises de contrôle. Suite à ces nouvelles lois, les actionnaires utilisent des moyens juridiques pour contrôler la direction des entreprises. [...]
[...] Lien avec le gouvernement d'entreprise: les fonds devaient donnés des garanties de bonne gestion. Ce qui va se mettre en place est une structure ou chacun doit se justifier par rapport à celui qui le mandate sur la bonne gestion de l'argent. Eux même mandate des gestionnaires de fonds qui vont gérer sous mandat une partie ou tout l'argent du fond de pension. Il doit gérer ses actions et comme il investit dans des entreprises il doit prouver que c'est un bon investissement. On arrive donc à une triple structure de délégation. [...]
[...] Cela a des raisons technologiques et financières. La question aujourd'hui ne pose plus de savoir si on fait ou on fait faire. C'est plutôt on fait faire mais avec des relations très spécifiques. Fisher-body (Klein 1991) un article. En 1919 GM appartient encore à Durant et il a l'intuition qu'il faut développer les voitures de type berline avec des carrosseries métalliques mais il ne veut pas s'en occuper. Il demande à un sous-traitant Fisher Body de faire les investissement spécifiques pour la carrosserie métallique et accepte cette investissement risqué. [...]
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